Appel à la grêve du sexe (conjugal ou bien?)(grêve ou grève?)


Mes biens chers frères, bonnes sœurs,

Il ne vous aura pas échappé, par ces temps médiatiques et télévisés, au fils des bavardages radiophoniques et télé-typés:

Les castrateurs et culpabilisants du 21ème, siècle dissonant ou arrondissement sans géométrie, ont la dragée haute! Le moindre coït conjugal, pas même adultérin ni monnayé, peut vous mener droit au commun. Au tribunal de l’infamie.

Violeur, Violeuse des tables de la loi vous voilà face à vos désirs, livrés au libre-arbitre, tandis que dans un coin les délateurs tapis dénoncent à tout va ce qu’ils ne s’autorisent pas, inféconds eunuques cacochymes qu’ils sont!

Tandis que d’aucun montrent une voie en impasse, qui commence comme l’absinthe et termine comme protubérance, l’abstinence, allant jusqu’à maudire Onan, je m’inscris en faux et leur coupe la pelouse sous le nombril!

De 12 h à midi à compter de demain et jusqu’à hier, c’est gravement l’heure de la grève!

1 réflexion sur « Appel à la grêve du sexe (conjugal ou bien?)(grêve ou grève?) »

  1. A reblogué ceci sur Oli.W.P.et a ajouté:

    En ces temps perturbés par la violence des accents circonflexes et autres convexes qu’on vexe, à l’avant veille de desseins amoureux à la saint Valentin, se put-il qu’écrire seîn soit ou plus swag que pôatrîne? Grève du passé sur la greve la grêve ou la gréve? Crève misère et sans dent, tous à la Bastille !

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