SIMPLET & FRIVOLUS


titre original.nel  » intermède léger mais à répétition: léger & SIMPLET comme oisillon \ light & FRIVOLUS, say fool as an early bird « 

Il n’est pas aisé, ces jours derniers, de faire preuve, ou pour le moins usage de frivolité. Pourtant, à quelques mois de fêter les dix ans de ce blog, fort des bientôt mille posts qui tels une mosaïque hallucinée, un patchwork débridé, je n’ai d’autre choix qu’être léger, désinvolte et libre.

Imaginez que je vous assène une nouvelle sanglante au message subliminal genre 7ème degré, une réflexion intellectuelle sur le thème de « Homme d’action au pouvoir VS intellectuels médiatiques », serai -ce vain et prétentieux, sans aucun doute et , tel le croyant impie, le doute m’habite.

Il est des spécialistes reconnus comme Rafy Einthoven (ben bêto-veine) ou son père spirituel pas drôle là « bée hache el« , le vieux beau marié à une anorexique contorsionniste qui telle Jane Birking a toujours son accent originel, 40 ans après avoir élu domicile en gaule pré covid … Je n’en suis pas, Univers merci !

Avertissement : si le baratin introductif, les préliminaires quoi, ça vous semble superflu, superfétatoire en gros, cliquez ici, vous irez directement au cœur de cette publication (à merdre le lien est, comme avec les zozo torités, rompu)

______________________________

Brèfle, je ne revêtirai pas non plus mon costume de descendant de Frédéric DARD, c’est déjà vu et revu sur mes pages sociales et soit disant en réseau (sic), voir adresse en bas de page.

Œuvrons donc,

pourquoi pas,

en contrepoint à l’actualité,

en miroir inversé de la triste réalité.

Vivons un instant,

libres et insouciants

un bon moment

_________________________________________

Dans la peau et les plumes d’un petit oiseau qui va quitter le nid et ouvrir les portes de la perception (ne vous méprennez pas, la drogue, c’est de la merde)

NDLA: je vous préviens tout de suite, ce texte à mi chemin entre nouvelle et journal peu intime va être écrit en temps réel pendant les quelques jours et pourquoi pas semaines à venir, poublié (publié ou mis à la poubelle, c’est selon) au fil du temps, puis révisé et refondu en une version plus tructurée (s en option) et fluide. Si vous parvenez à suivre le cheminement de mes bulbes et méandres du premier jet, respect.

J’aimerai, j’y travaille, bientôt en pleine conscience (voir Mat Ricard et autres bonzes boudeurs boudhistes, gourous plus a ou moins inoffensifs, bienfaisants) j’aimerai qu’il fonctionne ce blog et cet article en particulier comme un dialogue asynchrone entre vous et moi, entre une partie de vous et une facette de mes mois, émois, et toi. Pourtant, étrangement enough, en ndécalage et sans liens, à priori, J’ajouterai, au fil du texte des liens vers les titres des chansons que j’écoute en écrivant. Actuellement c’est Chico  & the Gypsies avec Billy Paul « Me and Mrs Jones » puis Fever apr Peggy Lee, au premier jet du texte c’était MAGAZINE – BURST … and you will forget yourself … sur qui s’enchainait alors ARCHIVE – Distorded Angels…à quelques dizaine d’années l’une de l’autre, des oeuvres majeures, du moins à mes oreilles appareillées de mélomane dépressif chronique désynchronisé décompensé, hypocondriaque mais rêveur, grossier et romantique, tantôt vulgaire par provocation, tantôt profond par procuration, tantôt c’est plutôt l’heure de la sieste mais seul c’est un peu dommage.

(…) lors du premier confinement puis déconfinement, mon grand plaisir, transgressif, et aussi disruptive.ment classique, fut de sortir 2 fois par jour minimum, dépasser de 33% la zone autorisée, faire sans compter des achats impulsifs, trier des livres (prépareration de mon activité de brocante de bouquins plus ou moins anciens) marcher, lire le journal, faire mots croisés, sudoku, parler à des gens, les enregistrer, voire filmer mais pas les visages en général et ne pas publier, stocker du vécu.

=> STOCKER DU VECU !!! sic, sick, wako complitely out of reality l’Olive stoque du temps réel pour en faire quoi? Du passé irréel? assez roche de la psychose du citoyen en plein, pas finement, con et décon, délire

J’ai des centaines de photos et enregistrements audios et vidéos à revoir relire réécouter, une mine de capture de ces instants inimaginés sinon auparavant par quelqu’auteurs marginaux, écrivain devins de science-fiction, et par quelques prêcheurs prédicateurs de cataclysmes, moqués par l’establishement …Cette fois et après un rééquilibrage des pneus ainsi qu’une révisions complète des circuits hydroliques, j’utilise les mêmes ingrédients mais avec un dosage pesé mesuré géré, sous auto-contrôle. elligible à la prime environnement non nocif à vocation ludique qui est à l’étude chez la fille replette assez drôle qui est en charge des cultures mais pas des betteraves. Si nécessaire voire très probablement par plaisir, j’aurai bientôt recours aussi à l’hypnose pour retrouver ces petits instants de bonheurs, en phase, en harmonie avec l’espace et le temps. Je vous raconterai si vous voulez.

Je viens d’écouter Starless de King Crimson et j’ai écrit un petit mot à mes amis Facebook, le voici :

to those I miss during this home jailed period of our lives, vies entre parenthèses, chienlit de pandémie de sa race maudite

on ne plaisante plus : oeuvre exceptionnelle et à écouter avec les chakras bien ouverts et détachés du fatras contemporain.
Pensez ce qu’il vous plaira, j’ose comparer le King Crimson de l’époque à Mozart Bethoven ou Stravinski plutot, maîtres du son et des harmonies dérangées voire dérangeantes mais, hystériquement fondamentales, parfois touchant au sublime.
Fripp c’est un trip, on peut détester, Bill Brufford c’est mon maître batteur, à 15 ans en 1975 j’ai pris des cours de batterie en imaginant pouvoir peut-être un jour percussionner un peu comme ça. Je commence à douter mais je persévere avant de me faire percer par les vers, sous terre mais très haut dans le ciel, loin dans la voie lactée, naviguant sur un fleuve de pavot liquide, avec Dieu à la barre et mère nature aux foiurnaux. Enfin John Wetton est un musicien hors pair, quelle beauté ces trois géants si peu connus du grand public, si puissants en quasi toute discrétion…
Je suis un enfant, pur, nu, libre, rieur, naughty, qui montre son petit zizi imberbe aux filles en leur demandant s’il peut regarder sous leur jupe, qui met un pied dans l’eau, puis lorsuqe la vaguelette se retire, suis pris d’un vertige, ce reflux enivrant, iodé, complêtement dégivré, trop vite, trop fort, trop fragile, trop jouissif, trop votre ami, trop triste parfois, mais content, trop content

Bloody fatigue, j’ai perdu un chapitre complet, le plus important de cette première publication, en insérant un bloc auquel je ne peut rien ajouter et qui semble-t-il nécessite de souscrire à je ne sais quoi §§§ …et je ne me souviens plus précisément de ce que j’avais écrit. Je décrivais l’état d’esprit qui m’habite, le doute aussi, cénobite, say no bite, s’il te plait, m’habitent…

(…) il était une fois upon a time, un enfant né le 7 juillet 2017. Trop fier d’entrer en maternelle à l’aube de ses 3 ans et 2 mois, ne voilà-t-il pas qu’une triste bande de flip and flop, flipette et compagnie de la 9ème génération et compagnie mais sans Bourvil ni de Funès, funestes, lui impose un masque même pas rigolo, et pire, lui interdise de poser la main, les doigts, toute partie de son corps contre autrui, voire pire du pire, tout partout autour de lui !

Mais qu’est-ce que nous avons fait à nos Mères et Père en remontant jusqu’à la 666 ème génération, pairs et impairs, que diable avons nous et n’avons nous pas fait ? Dieu, cher ami, pourquoi m’as tu abandonné? et eux pourquoi ? et maintenant quoi?. Comment où et pourquoi ? 

Je viens de comprendre pourquoi mon 1er roman est resté i,fini et surtout non fini, pas terminé depuis dix ans ou presque, plus ou moins, il faillait vivre ça pour aller plus loin!

à l’infini et au delà !!!

Merci, sincèrement, pleinement, à tutti frutti et tous et tous ensemble,

pour tout cet infini interminale

ces frayeurs abominables suivies de rires superfétatoires mais surtout festifs,

 

Sortez masqués mais, à l’intérieur, démasqués je vous ai, et ainsi je vous aime, vraiment, j’espère que c’est, un peu , beaucoup, passionnément, à la folie, folies,

réciproque

© ® ™ Oliwp yours, always  

Votre commentaire

Entrez vos coordonnées ci-dessous ou cliquez sur une icône pour vous connecter:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s

%d blogueurs aiment cette page :
search previous next tag category expand menu location phone mail time cart zoom edit close