La douce Alice un jour m’a dit « crois-tu en la nuit des délices? »
Cet étrange univers en long en large nous l’avons parcouru, à l’improviste
Un soir elle s’est assise, m’a contemplé du tout au tout, regard illuminant
Puis doucement s’est allongée, caressé mon visage d’un souffle vaporeux, son délicieux parfum lunaire et passionné, suave affriolant
Du gnome pantois que je fus, l’amant des muses à subtilement éclos et perpétuellement l’amuse