Il faut souffrir pour être belle.
En chemin du plaisir intégral,
Jouer la partition d’une décomposition fatale.
Pluies lacrymales bien trop salées,
La Belle renonce, se soumet à la bête
S’égare en labyrinthes, s’éprend de Pans aux flutes dissonantes.
Puis lorsque vient la rémission, s’éclaire telle un soleil d’artificier, une lune éblouissante de clairs obscurs,
Vénus magicienne, sirène kafkaïenne
Procréatrice divine doublée d’une Déesse ébréchée.
tiens , tu écrits pour une autre ! très beau texte .
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