Séraphique tic facial et tac sentimental, ballotés par la brise,
Sur le chemin douaniers nous remontions au nord,
Vers l’astral souvenir d’une douceur fœtale.
Le radeau végétal soudain glissa, au large de la plage, lentement.
Nous hésitions alors à larguer les amarres, puis à braver ensemble l’eau mouvante et glaciale,
Le plus brûlant des quatre périt, indécente métamorphose de l’amitié qui transfigura badinage et brisa l’innocence.
Et la Fée et ses Pages dérivèrent solitaires, chacun sur son îlot, au pied de la falaise.
bel hommage ! …c’est un peu pour ce jour , que la mer m’inspire , parfois , peur et amertume !
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Tu le connaissais bien? Je penses que c’est Alain qui a le plus morflé mais il parle peu. Je me souviens de longues semaines de tristesse, refus de croire, compositions cold wave au bouzouki dans la cave de la maison des Petites Dalles…
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