Longtemps j’ai craint vous manquer de respect quand,
Le regard biais du décapode la queue en baguette de sourcier,
Mon instinct bassiste et les spires de mes ris à tous vents d’élans vaporés
Tantôt pris d’une rafale puis tantôt retourné, comme la voile d’évènements avant,
Et toujours et encore j’y reviens ça détend.
Vos courbes sont planètes dans le creux de ma main
Vos cavités sont collines lunes coulées de neige, éternellement remodelées
Vos synapses me flagellent le tympan des gonades épicées,
Vos aurales globules m’investissent en gloussant d’informelles permanences!
A vous pour toujours femelles arabesques, je suis l’Ulysse de vos métiers, à tisser.