Soulève son nuage de matières.
Dans le vent, substance suspendue et légère, la poussière
S’offre à une vie nouvelle, terme de l’inertie.
Aspirée ingérée par le corps en mouvement
Elle redevient gamète, destinée d’existence.
Lorsque le marcheur foule la route là et la,
Providentiel, il étincelle et compose déjà.
Son œuvre humble et subtile, dispersée et légère,
Dans un sourire contrepoint à l’œil vif,
Éphémère ritournelle balancée pas à pas,
Il impulse la vie en cadence, incidence de bons alois.
C’est beau comme une digression ecrite sous l’impulsion d’une image evoquee.
Ah si seulement je pouvais moi aussi voyager dans les stupefiants paysages de nos cerveaux exhales!
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Les voyages littéraires commencent souvent par des errances en solitaire, leur retranscription manuscrite à une main même gauche ne sont que subliminales subtilités appliquées!
ps: parfois je prends le dictionnaire pour comprendre un mot que je viens d’écrire ;-(
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