Comme un chien en Andalousie le chasseur de tête s’agrippe, virus humain-déficitaire, à l’encontre de toute âme errante, s’oppose à la quête d’existence.
Son art rapace au service des puissants, des argentiers noircis, sales et oxydés, son non-art déchire nos lunes, souille nos aspirations.
Je m’invite au banquet pour répandre le sang de vos coupes, et renverse la table des noires libations parjures et dépravantes.
Reprendre le pouvoir à ceux dont la présence est parodie inconsistante, qui renient l’espérance,
Rendre à la nuit ses ombres
Et danser sous la lune fendue
Courir galamment, pour en perdre l’haleine,
Le garou et le monde en infinie spirales philanthropiques…
humble hommage à Luis Bùnuel (cliquez pour le court métrage mis en musique en l’an 60)