…Accoudé au comptoir, me délectant d’un doux breuvage en chaude compagnie, soudain de fantasmagoriques inconnues viennent rallumer une libido à peine voilée d’anachorètes intentions fragiles. Envie de les humer, de les gouter les visiter, m’en pénétrer…
Entre la phase sadique-anale et l’antithèse maso-phallique, je m’imagine pondant un œuf et le couvant.
S’en suit un désordre de scènes hommages à la nature, puis d’outrages à la décence même, renoncements à la candeur, vénérations des croquis malicieux, et vice et versa.
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Saurai-je un jour à quel genre tendre, le féminin inspire, plus le masculin réalise, le trans fusionne en grand écart, alors je m’interroge sur un sans genre.
Pure conscience ou simple épure, expression préparatoire ou perfection ascète?