Après la petite mort, le vit ramollit cependant que la vie est ravie, mais gaffe à la mort qui vous ravie la vie sans crier gare (un train peut en cacher un autre)


Et toi Souris tu souris? (brève initialisée en février 2011, non publiée car au stade d’ébauche mais aujourd’hui pas le temps, et j’ai mal au cou; et vous à part ça, ça va bien ou bien?)

Petite Mort (Hyeming Hwang, Hunjae Jin)La matinée commençait par une aube frileuse et humide, pas encore le printemps. La question, anodine mais pas tant de Za, « Y-a-t-il UNE vie après TA mort? » me donne l’occasion de faire un point, ou plutôt ébaucher l’infinité de points qui composent ces lignes.

La vie ne semble être une ou bien la Vie n’est-elle qu’unicité, mais ma vie, ta vie, leurs vies sont-ce des filaments de la Vie? L’instant vivant se décompose au croisement de trajectoires de vies. Il est à son apogée lorsque l’instant et le lieu sont communs, en harmonie. Il est en parallèles distordus lorsque le partage est distant, dans le temps ou le lieu.

Tandis qu’apothéose est faîte d’orgasme synchrone, sur le culmen (please don’t fuck me man, one finger is enough to please my prostate), l’instant d’après un vide pour un plein, les rôles sont renversés, Lui se plait à être dominé par Elle, rescapés d’existences circoncises, ils sont diamétralement, amplement, absolument en vie Petite Mort (Hyeming Hwang, Hunjae Jin)inverse

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