Ce quotidien de torture, à contempler envie orgueil et avarice avec concupiscence, m’aveugle.
A ce stade, tel je m’essoufle à chercher un abri, seule la cécité m’offre un semblant de paix.
J’ai soupé, pour la dernière fois, de l’infâme rata de viles concupiscences, de mes semblables, en recherche de liberté.
A force de contemplation des pires outrages, mes misérables vices apparaissent modestes et vains, communs.
A quoi bon cette exacerbation des sens pour pénétrer au mieux une telle décadence?
Si tu m’aimes crèves moi les yeux, enfermes moi dans ton jardin, et offre moi l’oubli,
J’aspire tant à respirer humblement un peu d’air libre, à entendre la pulsation de tes sensuelles marées, toujours montantes, jamais basses…
Oli.W.P. 
qu’importe la vue puisqu’il nous reste le cœur, et pas l’eau, non, non, le Barolo, rugueux et tannique aux arômes de cacao et d’épices, ce vin que nous avons ramené
du Piémont … Nous boirons jusqu’à la lie, puisque toi et moi, nous n’avons plus rien à perdre…
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Ah, ce Barolo! Du Piémont ou au pied du démon, il n’y a qu’un plat et puis quelques verres. Sous les 7 divins, le mont Parnassien, le Martre, la buttes aux Cailles, le Souris, la Ménil, La Folle et sur Bellavilla, il ne restera que deux corps païens, épicu, épiplurien. La passion est ainsi fête, elle ne supporte point l’usure du temps. Elle tend malgré tout à rompre ses chaines, hertziennes, satellisées, lunaires, filaires mais rarement filiales ou familiales.
De cet imbroglio bien imbibé, je vous invite à ne point trop chercher de sens clair ou commun; le premier jet, bien souvent plus fourni, mais pas bien plus fécond, manque de contrôle et souffre d’impréci’zion. Je vous laisse dont insatisfaite, ni fromage ni dessert ce soir, mais mon plus humble hommage à vos charmes inaccessibles, à vos formes deux point zéro.
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