Une vie de meurtrissures à soigner les blessures ou l’aventure désinvolte d’un compositeur alien né.
(…) Ils firent connaissance un 22 novembre, à l’abri du kiosque à musique. Coïncidence étrange. Le barde errant pique un accord de trois notes. La muse inspire et lui souffle à la clef. Ils temporisent.
Instant rare comme un coup de foudre, à peine plus improbable l’existence. Que la matière soit? Que l’âme soit! Alors la musique et les mots viennent en portées et par chemins aléatoires interpréter de ci de là d’abondantes combinaisons rocamburlesques.
Venez ma belle, notre bonheur appelle un irréalité salvatrice, ce monde est bien trop mortel pour vous et moi. Seul j’eus raisonnablement accepté fatalité, résignation, humble dédain et autres mesquineries. Notre alliance émoustille une autre liberté. Par vous je plaide coupable, du meilleur et du pire, et livre à l’improviste poésie, invectives, délires et légèretés. Sans omettre quelques grivoiseries, votre corps m’inspirant au moins autant la volupté, folie érotique, un peu de stupre, de la lubricité, ce qui n’empêche en rien avant allées après venues, un retour à l’apaisante romance.
Fait le moi dont savoir
Retrouvons nous au kiosque
Entre hier et demain
à Istanbul Bangkok Paris Moscou Londres ou Portmeirion
Une super muse 😉
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A reblogué ceci sur Oli.W.P.et a ajouté:
Dans la série les Muses m’ont ressuscité (après Muse m’a tuer)
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