La voix conforte à écouter, trouver une voie
(…) des étages dans un jardin. Ce lieux n’est pas construction humaine; une caverne pour le passé, un jardin du présent, un labyrinthe d’interprétations en paliers.
(à table) Tandis que j’installe un dispositif permettant d’exalter les phantasmes, nombre convives s’opposent. Nous n’avions pas prévu que ces extensions biocorticales se mettraient immédiatement en phase avec la finalité courante du dîner à 2… la bagatelle débridée, orgies, orgies, que d’autre voulons nous qu’orgies?
Pris à partie par les unes qui nous conspuent, huent la misogynie, et d’autres craignant le Belzébuth, contraint d’agir en toute discrétion. Être transparent et peser des tonnes.
La boite à outil. Le coffre à jouets. Instruments de l’ouvrage, objets à penser, ustensiles du plaisir, ouverture de portes pour seule fin.
Tandis que je me glisse par la statue de verre, désincarné, le bricoleur laisse place à l’enchanteur. Rencontre avec l’humoriste, prend place à sa table, introduit Prisma et prend congé. Nous évoquons un infini de possibilités pour en retenir deux.
1/ nager dans le courant, lutter à contre?
2/ évasion dans les étages
Notre choix=2
Doué de curiosité naturelle, nous voilà à la découverte de documents historiques. Puis la recherche d’un moyen pour une intégration, demande d’autorisation pour la duplication, fuite, échange avec Georges, fuite, marginalisation rejet, liberté retrouvée.
Lui: te souvient-il le mentor disant « à quoi bon une question si la réponse peut-être no »?
E: touché
L: regarde comme le Pô paraît inerte tandis que sur le lit s’écoule
E: et la multitude d’ilots
L: affluence de sens
E: confluence indolente
…walking along side by side, heading to join the sea, we dream our days aloud