j’oppose volontiers à l’aberration une forme d’absurdité, sans affolement. car l’aliénation est une forme d’amour, un aveuglement plus ou moins passager. que celui qui ne fait pas de bêtise ni n’a l’esprit traversé de bizarrerie m’assène son bon sens in romanceros. tout tes caprices, tes rêves de castel en chaleur, de château des chimères, je les vénère et nous les visiterons. la connerie des uns n’excuse pas le coup de tête des crétinistes, le crétinisme est un art contemporain, à la dada. j’ai nourri mon délire en la passion de tes démences passagères, sans regarder à la dépense. mes dépressions ne furent que dérapage de la déraison, dérangements temporaires. funambules en déséquilibre permettez moi de veillez à la balance! de nuages en dissipation, divagation de demi-tons en cartons, écarts à la quarte chacun sa part de tarte, égarement dans le sous bois d’emportements passagers. l’énormité en cet instable équilibre c’est comme une équipée sauvage. un ermitage pas sage. ce petit pamphlet est un hommage à l’erreur, une escapade légère d’excentrique moyen. l’excès de plaisir est une extravagance, un fanatisme de fantaisies. j’ai une fêlure au casque, la fièvre de mes frasques c’est l’ardeur au service des humeurs en hommage à vos sens. mes fredaines, calenbredaines et balivernes inverties sont offrandes frénétiques, fureur de vivre avec vous. la gaieté des savoirs, le génie d’avoir le grain et l’ivresse, c’est une habitation, un palais pour nos exaltations. la haine est hallucination, mauvaise humeur passagère, une sorte d’infection virale tandis qu’hystérie vague d’idioties en rouleau. mon imagination serait imbécillité sans l’imprudence de l’amour que je vous voue. les incartades et inconduites ne sont inconscience que pour les rares saints esprits. jamais l’
insanité ne se lave, il suffit cependant d’humour léger et humble jugement déjugé. mes lubies sont légions de lypémanie.
bâtissons une maisonnette avec pour toît la maladie mentale, avec pour toi la manie des marottes. la mégalomanie à la mode de chez vous, Y gen, serai monstruosité sans cette morosité qui crie vos névroses. j’ai pitié pour l’obstination à développer paranoïa alors que la passion suffirai. dans mon pavillon à l’hotel pâle des hyennes nées, la perversion mène à la phobie voie royale des psychoses. mais la rage ramène à la raison, à la maison. chance de la sagesse pour la bonne santé, qu’elle saugrenuité que l’esprit sain en un corps sain! le sens n’a de sérieux que lorsque la sottise défrise la témérité. cette prose est une toquade à l’encontre de la tristesse trouble, viva vertigo in vésanie, bienvenue en ma villa des paléovisions futuristes
A reblogué ceci sur Oli.W.P.et a ajouté:
Je ne sais qui écrit ceci quand et sous quelle canicule il concède ces bulles
Probablement un coup de l’aînée des faire chaud saoul laid trop piqué
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