soit ce que tu manges et pour être, mange ce que tu es disait le marchand
Let me tell you the story of a friend:
Il serai simple que l’histoire commence à la naissance, les influences, influx et nuances, fruits de générations et manipulations induites ou pas. La vie un peu comme une peinture, couches de couleurs sur couches de couleurs sur toile, les cernes d’un tronc d’arbre enraciné en une terre fertile. Il a tenté vainement de l’éplucher pendant un temps ce tronc. Les formes sculptées ne représentaient alors rien de simple, autre irréalité délavée, une différente complexité, donc à quoi bon? Il eu aussi l’idée du livre, se délivrer par le partage; et la musique, lutinée de batifolages; infimes parts de l’ouvrage. Il hésitait. Partir en ermitage et devenir anthropophage? Redevenir poussière ou manger l’univers? L’œuvre d’un homme, est-ce plus qu’une petite crotte, déjection résultante à la digestion d’une micro-tranche de temps?
Tandis que sur l’esprit le corps commençait à peser, mais en même temps que s’amorçait semblant de vérité, à la recherche du moment ultime, du faîte, à l’apex il opta d’une longue inspiration, avant l’expiration, pour la plus longue des respirations.
Puis il plongea au fond de l’océan, offrant ce corps multicolore aux poissons ses semblables. Fini les sushis, j’arrête de manger dit-il brusquement réveillé devant la télé allumée, les poissons, ça bouffe vraiment n’importe quoi!
A reblogué ceci sur Oli.W.P.et a ajouté:
tel le débris à la dérive amasse masse, de marées en marées, flux et reflux abrase ma carapace sur le sable fin. Plus jeu m’abuse je profite, toujours flottant affleurant la surface, au risque de sombrer
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