I.− L’amour comme principe d’union universelle.
A.− [L’amour comme principe d’union et de cohésion de l’univers, de la terre, etc.; avec ou sans coloration relig.] :
7. Depuis le créateur jusqu’à la plus humble des créatures, rien n’échappe à la grande loi de l’amour. − Les corps simples tendent par l’attraction, qui est une sorte d’amour, au point de l’espace qui leur fut destiné. Les corps composés ont une sympathie, un amour du même genre que le précédent, pour les lieux où ils se formèrent; ils y acquièrent la plénitude de leur développement; ils en tirent toutes leurs vertus. Les plantes manifestent déjà une préférence, un amour plus marqué, pour les climats, les expositions, les terrains plus favorables à leur complexion. Les animaux donnent des signes d’un attachement plus vif, d’un amour aisément reconnaissable, qui les rapproche entre eux et quelquefois les rapproche de l’homme. L’homme enfin est doué d’un amour qui lui est propre pour les choses honnêtes et parfaites,… F. Ozanam, Essai sur la philosophie de Dante,1838, p. 139
comme si c’était écrit
quelle autre voie que décadence, dance?
tant va tranquille rivière à la mer
sur lit friable creuse lie, l’insondable
universel amour, viendras tu préserver
un semblant de raison au dévoyant courant?
peu m’importe j’avoue
bien, mal, tant qu’il y a du plaisir
volupté là ou ça fait mal
ni élixir ni foi ni loi
las les excès?
combler de plénitude le manque? testé sans succès.
~
harassé non désenchanté,
cherche essences perdues
irrésolue rompue aux arts assourdissants,
fourbissant moult thèmes moi non plus,
expectatives actives,
éternelles aux désirs ardents
=> écrire au journal sous référence ωοπ15