lire introduction, titre provisoire » Kill John John – essaim œufs brisés « suivi de ch 1, 1b
Résumé (dans les épisodes précédents) Kill John John est en mission pour le club des tueurs en série. Il voyage autour du globe et d’une extrémité à l’autre, il réalise des soustractions symboliques pour dénoncer et punir diverses décadences et dépravations indignes. Son objectivité est entachée du gout pervers toujours en fâcheuse croissance exponentielle pour la souffrance et/ou l’humiliation de son prochain, autrui et autres truies
Ce qu’il entreprend avec quelques acolytes il le termine. Aucun n’en réchappe. A force d’inspiration et divergence de points de vue, il innove en toute occasion:
- le programme eut pu sembler chargé: 99 exécutions standard et une apothéose
- en ce premier chapitre qui s’achève, déjà éliminés 2 clodos et 1 « commuter » (usager des transports qui va et vient, dodo métro boulot métro popo dodo), et d’un seul geste incendiaire en une agence pour l’emploi 90 usagers clients et autres contracteux plus ou moins salariés, dont quelques fonctionnaires à la chair grillée particulièrement insipide faute d’expérience libérale
- à venir ci-après un couple bi(se), un couple multi(pas-s), un et une homos(e), et nous voilà à 99 ! le chapitre 2 sera donc intégralement dédié à la fameuse apothéose dont à ce stade je n’ai la moindre idée, laissons faire l’inconscient, il a ses ressources que le conscient coupable ou innocent ignore
(…) Nous avons le synchronisme inouï de nous trouver dans le défilé LGBTQI très ouvert de Stockholm. Ça fleure le putois en chasse, l’araignée à marée basse, touristes en baskets après journée de lèche putassières vitrines. Et pourtant, ça respire une forme de liberté raccord en ces temps d’errance pré apocalyptique.
Dans l’ordre croissant de souffrance méritée nous infligeons :
α: au quatuor maudit, 2 à 2 jumeaux, 2 homos, 2 trisos, 2 bis nous offrons la délivrance par noyade. Leurs têtes de chatons innocents appellent à abréger les souffrances, aussi mon acolyte Lennie Small leur colle une grande gifle à chacun, puis un sac sur la tête. Je me charge alors de les plonger l’un après l’autre dans le fleuve, tenus par les pieds, tête immergée quelques minutes jusqu’à ne plus percevoir de pouls au creux de la cheville, et enfin les libère au courants baptismaux vers un océan de purification sérène. Tandis q’un des deux mongoliens en réchappe je peste et puis soyons charitable, une bonne action de temps à autre ça redonne du sens à la violence. Il faut admettre que ce veinard a pris la gifle en plein son 47ème chromosome qui s’est scindé en deux. Le voilà nouvellement muté, en un génie que nous retrouverons dans un autre épisode (Souvenez vous de lui, C48 alias Lui, Andréa le messie du XXI ème après son prédécesseur frère Jésus. Il est la vedette du roman à paraitre ndla)
β: pour honorer la commande nous associons deux créatures opposées que tant rapproche, femmes. L’une lascive, le corps tel une âme à vendre, l’autre fertile, ventre à louer.
Toute deux mériterai respect s’il en était, mais en ces temps post indus un grand ménage s’impose.
γ: cette suédoise importée qui s’offre à un dieu de souffrances, privations, autoflagellations éprise de folie prosélyte s’en vient demander le pardon car elle en aime une autre, femme. Non contente de bafouer à la source originelle les enseignements de son Livre, elle ira jusqu’à batifoler avec nos deux précédentes, Lascive et Fertile. Leur terminaison est classique: une égorgée, une étranglée, une poignardée en plein cœur. Je vous laisse imaginer la scène d’une poésie sanglante inouïe, j’en veux pour preuve le documentaire réalisé par notre ami Jim dernièrement, oh digne célébration épique et sanguinaire, je vous suis intrinsèquement acquis et pour l’éternité !
Revenons à notre romance musicale.
05 – 11:09 – Hey! (Rise of the Robots)
Hey hey, what do you say? T’es source ou quoi? Tiens prends mon saton dans ta gueule de raie, un second dans tes séminales. et vlan, crache ton
dentier pédale ! Un petit intermède de baston à la Alex et ses oranges drougdroug drougidrougs mécanisés. Point de trépas mais une violence gratuite, du raisiné plein les yeux, gout âpre métallique sur le palais, les joues, la luette et dans nos gorges profondes.
Les 50 nuancés mais gays en prennent plein les burnes flétries ou juteuses, poilues ou glabres, et tout ce joyeux club privé se termine à la queue leu-leu, la queue des un en la bouche d’autres turlupins, la pine des malins dans l’anu des sodomites gominés, Oh gomorrhéens pénétrables je vous baise et le front, ventre, sexe et puis vos pieds sculpturaux si fiers si beaux, Oh déités testostéronés ! Olé !
J’en profite pour envoyer une carte à ma mère, la Denise, toi qui m’a tant aimé qu’à la fin je ne lasse de pourfendre les ennemis des simples vérités primaires, Ton fils qui pense à tu et à toi, sans panser mais tuer ci et là.
06 – 13:24 – Toiler on the Sea (…) Il est temps de reprendre la mer viking, monte Dexter, j’ai envie de tringler Debra et je t’offre ma sœur en retour, elle est pas neuve mais sauf votre respect Femmes, c’est de l’occasion rodée avec vice et versification, multipass polyjoujoux, un bon garage à bite comme dirai l’autre.
Certain diront de ce pamphlet qu’il n’a ni queue ni tête. Et pourtant ce n’est pas faute d’en parler des queues, d’en briser des fortes têtes. Il règne ici une certaine confusion à première vue, car mes récits ne sont pas consciemment réfléchis ni prémédités. Cependant, le fil conducteur est simple et je vous le résume pour clore ce chapitre:
L’homme est le fruit d’une évolution de quelques atomes molécules et organismes primaires qui dès exposés à la Lumière n’ont eu cesse de progression. Il lui eut suffit de comprendre cette énergie lumière et laisser faire la nature cosmique mais non. Il s’inventa des temps, une et beaucoup d’Histoire, sans s et avec un grand H, aussi fus-je nommé Grand Hacheur pour ramener au microcosme dont ils advinrent, et l’Homme et l’Âme, les hommes dans leurs larmes
…une bien belle apocalypse
revenez ici dans quelques jours si vous voulez en savoir plus,
sinon
inventez vous une suite à votre inspiration,
ma version n’est qu’une solution finale possible parmi tant et tant de scénarios pour la destruction globale,
paix intersidérale,
vous m’en voyez autant que vous,
sidéré
Hémoglobinement vôtre, Oli poussière d’atome, revient et redeviendra, pouce, hier et demain
😉 Hey hey, what do you say? Nice and sleazy (does it…) indeed !!
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