(…)c’est un voyage régulier, où tous les jours depuis l’accident je m’engage, avant ou à peu près, forcé de rebrousser chemin
… sur cette balançoire, une dans la rangée de 3, 5, 7 je ne sais, ne sais plus, l’une ou l’autre
à l’avant en lumière
suspendu, pénombre sur le seuil, intérieur extérieur
à l’arrière, sombre
grands coups de pédalier m’évite le néant
cramponné cette liane fragile
lambeaux
informe l’ombre délitée
qui m’évapore
rattrapé de justesse à la crinière de l’étalon
réveillé pile