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Lettre ouverte à Nono Lelandais (rien à voir avec les landais, merci pour eux)
Ne te fatigue pas à embrouiller les keufs, les bavards, les experts, le jury, le parquet, assises assis ou à genoux (couchés ou lobbyisés, média-lobotomisés), les jurés (sincèrement je les plains).
Cesse de chercher à manipuler tous les spectateurs puissants et impuissants, témoins plus ou moins involontaires à ton procès.
Parle uniquement pour le deuil des familles de victimes.
Et dans un autre monde, passé ou futur:
Si j’étais président du jury, tu écoperai à minima et d’office de la perpétuité réelle et incompressible, sans possibilité aucune de remise ou aménagement de peine, en accord avec celle, la peine, des parents et familles de tes victimes.
Si j’étais dictateur ou micron, je t’accorderai une grâce présidentielle à l’envers, renforçant ainsi une incarcération unique en son genre.
Si j’étais un de tes codétenus, j’accepterai de te travailler au corps et à l’esprit sous les ordres de Lucifer, Satan, Belzébuth et toute la bande, jusqu’à la fin de tes jours sordides, dans cinquante ans à peu près.
Ou bien si ta maman insiste tu pourrai être transféré dans un hôpital psychiatrique à l’image de « Shutter-Island » ou de celui de « A flight over a cuckoo’s nest ».
Surdoses permanentes d’inhibiteurs des pulsions sexuelles et/ou violentes, et autres molécules épuisantes et abrutissantes. Collectifs soignants et patients entièrement voués à ta curie.
(…)
J’en reste là pour le moment, je t’écrirai quand la réalité aura rejoint ma fiction ou une autre, et participerai sans plaisir ni joie à te surveiller.
Tel un américain, sache que je serai armé pour me défendre d’une arme non létale et toujours accompagné d’un adjoint, garde de mon esprit et mon corps.
Va au diable après avoir souffert pour le restant de tes jours, lentement, douloureusement. . .comme si un jour tu avais été un être humain
Je ne te salue pas.
Oli Walt Poi
To be followed