Quand tu prenais ton café au Libris Pauline, assise sur un tabouret haut au bar, Oh, comme d’autres je t’observais

Impossible de ne percevoir l’artiste, au delà d’une fausse ingénue, la marchande de fournitures, la papeterie se devait d’être fournisseur, pas employeur.
Un jour Pauline nous a montré,
Son cœur, ses cauchemars, ses rêves… l’ébauche, les premiers cris
Déjà souvent tu t’oubliais, Pauline
Et puis pour mieux encor faire le vide, le plein, te souvenir
tu es partie vers d’autres plages
d’autres pages d’une vie foisonnante, éperdue parfois, divergente
avant de converger vers ton art (cliquez ici pour le site de Pauline)
majeur, majeure,
je suis si heureux de t’avoir retrouvée, d’être ton ami, une sorte de tonton fou et aimant, un grand frère à demi bien casé, à demi ou trois quart allumé, avec un petit vélo dans la case, mais l’oeil vif et la plume dressée…
En miroir d’une jeune fille devenue femme, mère, artiste à la palette classique ou moderne, pinceaux ou souris, sourires et grimoires, grimaces et accessoires, sidérante ou paulissée, exubérante ou réservée, Pauline pointG, bravissimo et mes sincères vœux de circonvolutions chromatiques sidérales, reconnaissance des amateurs, et tutti frutti
Amicalement , affectueusement, respectueusement tien ©® Ω.Λ.Ι ω.ρ.
[1] Pauly.G c’est une idée d’Oli, à valider par toi Pauline, en particulier si tu acceptes un projet commun signé « Pauly & Oli »…