2020 election for a reason

I had a dream

Lorsque j’avais une quinzaine d’années j’étais persuadé que les élus de la nation ainsi que les présidents de sociétés étaient choisis avant de passer l’épreuve du vote. Choisis pour leur intégrité, leur potentiel, charisme et plus si affinités !

Quelques années plus tard mes convictions ont changé de couleurs. Du rouge et noir avec Julien Sorel j’ai glissé assez rapidement au kaléidoscope hippie avant d’embrasser les couleurs chamarrées de la punk attitude, avec toujours un peu même illusion, l’homme de pouvoir désigné par le plus grand nombre ou par un conseil de sage est à sa place.

Pas inféodé au grand KAPITAL.

Pas dopé au SEXE et à la coke ou la MDMA.

Il ne s’agit pas d’interdire le plaisir voire le stupre, l’appât du gain ou le fantasme de la réussite, une belle maison, un beau couple et de beaux enfants qui réussissent, font médecine ou un master en droit. Simplement placer en haut des pyramides non pas des nabots impérialistes mais des êtres destinés à présider, voués à l’arbitrage en connaissance des causes.

J’en suis revenu puis comme à la source, y suis retourné.

2020 une nouvelle ère? Ne rêvons pas mais quelque chose de plus juste, plus beau … pas plus simple !

Pourquoi cet article ici, dans l’univers traumatico-poético-artistique d’Oli? Parce que. Je ne serai jamais président, ni maire ni curé, ni militaire (quoi que) ni mandataire, mais je peux soutenir et rêver encore.

« Papa, les patrons, le président, c’est des gens honnêtes ? Quelle est leur finalité, le pouvoir de faire quoi, de faire faire quoi? Papa, c’est quoi le bien ?« 

« Fils, le bien, c’est mieux que si c’était pire…Prends ce livre et va t’assoir au parc, passe à la bibliothèque et butine les rayons philo, théâtre, religions, sans oublier la littérature, et reviens m’en parler en 2050 »

Bien à vous – Ω.Λ.Ι ω.ρ