IMPORTANT : ceci est une fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé est purement fortuite.
…quand j’étais petit, je n’étais pas grand [1]. En vrai il eut phallus écrire quand j’étais enfant j’étais jeune, car pour mon age je n’étais ni petit ni grand, comme tout le monde. Michel (RIP) m’emmenait à la pêche et au jardin, ça j’aimais bien. Et puis il me demandait si je voulais l’accompagner à la chasse et là c’était plus compliqué. J’aimais bien parce qu’il y avait Gipsy la maman de Kimy qui me protégeais, parce que dans la forêt ça sent bon, et aussi le lapin de garenne ou le pigeon, le sanglier ou la biche, quand c’est chassé puis bien accommodé, c’est bon.
Je vois déjà ma copine Solveig fourbir ses armes, je te préviens So, on se connait bien maintenant, ça va encore saigner si tu joues.
(…) je vous raconterai une autre fois ces moments inoubliables mais j’ai besoin d’évacuer quelques mégatonnes de pression à la suite de la campagne des municipales alors, à bientôt sur cette autobio non conforme aux exigences de l’UE._
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à la manière de Jan de Grüt de l’Abreuvoir
Un lapin nain à peine vêtu d’une simple écharpe bleue
Arpentait Ruel en quête de pitance, et de quelques méfaits.
De ses petites griffes et ses deux dents malodorantes
Il éraflait ses congénères non écharpés, parfois et jusqu’au sang
Maltraitait moult Lapine blanches, ingénues qui pensaient qu’être lapine c’était, avoir pour lanterne la Lune et projet quelqu’Amours …
Tandis que lui vieux bleu, seul le faisait baver max de thunes et la gloire, ni la foi ni aucun raisonnable pécule ne parvint à satisfaire ses futiles appétits.
C’est alors qu’au lendemain d’une mémorable joute,
Vint à sévir le vilain Pangolin. Tandis que Pompom le lapinou bleui, avec sa cour ses courtisanes ses ânes et ses faons
Pangolin lui cracha à la face. Le sénile moitié débile eut à peine le temps de crier « Mam Mam maman ! » qu’il s’effondra mourant.
Morale de cette histoire? Rien de nouveau malheureus’ment
Bien mal acquis ne profite jamais, « Il m’a dit qu’il ne faut jamais Vendre la peau de l’ours qu’on ne l’ait mis par terre. » « Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage. » « Apprenez que tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » « Il se faut s’entraider, c’est la loi de nature. »
j’en passe et des meilleures, voir ci sur ce lien
NDLR : comme d’hab j’ai comme un coup de mou après ce premier jet à la faveur du premier jour de confinement, aussi vous prie d’excuses les fautes et l’infinitude de ce billet, j’y reviens dans l’après midi si Annie veut bien me corriger un pneu. Aïe
A suivre (c) (r) (TM) Oli W.P.
(…)
note 1 : (…) quand j’étais petit je n’étais pas grand, je montrais mon cul à tous les passant » … est-ce une raison suffisante pour avoir pris chair dans mon trou de balle d’enfant, ça se discute