Nouvelle Année bien sur, mais ici une nouvelle brève sans plus d’importance immédiate que le bourgeon qui pointe, sans plus d’importance que la première et délicate ponte d’une poularde émue. Qu’importe le ventre de l’architécrivain quinquagénaire?
Pas de carte de vœux donc, pas de SMS à tous (vous savez celui pour être sur de ne pas en oublier et remettre chacun à sa place, tous la même), pas d’excuse non plus.
Il y a quelques mois que ça me démange, quelques semaines que j’y travaille par intermittence, inter miteux du spectacle de la morosité contemporaine que je suis. Nul n’est éternel, mais beaucoup éternellement nuls, tâchons d’affronter l’éternel retour du présent.
Aujourd’hui, 21 janvier 2011, c’est mon anniversaire de 50 ans et demi. Plus important pour mon égo nous sommes à j-180, six mois, de mes 51. J’en dirai plus sur l’évènement à venir le 21 juillet 2011, sachez que vous serez convié à célébrer ce jour là.