Dixit wikipédia « Le centrisme peut se percevoir soit comme l’affirmation d’une force politique distincte de la droite et de la gauche, soit comme un compromis entre les deux ».
Nos élites aux commandes et sur la touche l’ont appris à l’école, et évitent d’offrir à cet « entre deux chaises » une place autour de la table. Le centre c’est devenu comme le coucou de la politique, squatteur tantôt d’un nid à droite, tantôt d’un nid à gauche. Les trois guignols qui s’agitent ces temps derniers, pour exister, veilleront à remettre dans l’entre deux tours en 2012 leur récolte de voies qui à droite qui à gauche, et pour les moins tristes à chacune et chacun en son âme et conscience de citoyens.
En attendant sur le terrain, dans les communes, entre désarroi et pragmatisme, les centristes par nature sont comme des convives sans chaise, militants d’un parti fantôme, fantoche, ou fantasmé.
Si vous connaissez un centriste fier et digne, social démocrate progressiste visionnaire, sans chaise prêtée ou usurpée, et sans casserole, invitez le à m’en dire plus, faute de quoi je bascule chez les révolutionnaires !
Quelques propos mis en musique sur le sujet: