Nexus, plexus, sexus


L’usine à étron m’étreint le gland, tandis,

Queue gauloise pénétrant le jardin des invertis notoires,

La cueillette des champignons en un curetage volage

Je tressaille d’une petite mort, m’envole avec toi, étroits émois.

1 réflexion sur « Nexus, plexus, sexus »

  1. Ok c’est moyen et tendancieux, ça mérite à peine d’être publié, mais avec deux lecteurs peu de risque d’être pris au premier degré. Quoi que…

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