Salut, ça roule? J’entends bien ton raisiné qui coule
Bienvenue Lâme, tu vois la houle, c’est une infinitude, mille foules de lunes
Bien Pauly et folie Oly, dépolie Pauly et rustique Oly
Dans le flot suspendu à l’instant, immobiles, d’une vapeur sibylline.
Entends tu les balafons les cornes les tablas?
As-tu vu la chaleur nature monter vers le soleil?
Sens-tu venir la vague concise, l’indécise nébuleuse infinie d’univers?
Ouvrir le cœur et la paume à coup de feutre sur grain fin
Les portes de la conception parfaite, harmonie aux confins.
Moultipass
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Je le lis comme je lis les comptes a mes enfants; mais je m’endors pas! elle est ou la magie??? la magie du texte se sent mais se voie pas; et c’est la tout le charme de tes textes. J’aurai aimé un Chopin sur ce texte.
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Merci Zohir. Ce texte est inspiré d’une rencontre récente avec une jeune femme qui a l’âge de ma fille aînée, 20 ans. J’aime beaucoup Chopin et en particulier la période avec Georges Sand, mais comme tout le reste c’est confus en moi; si tu as idée d’une pièce musicale pour illustrer ce texte dis-moi. Le thème général c’est l’amour platonique entre fille & père, étendu au paradoxe de Lolita (Vladimir Nabokov). En même temps citer ces références ça manque un peu d’humilité ou bien?
🙂
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