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Ce qui est bien le dimanche, c’est de n’être redevable de rien envers dieu et les hommes.
Comme la météo est particulièrement douce en cette période de aa+, réchauffement planétaire, révolutions des fleurs, proclamation des dignités et des indignation oblige,
Imaginons nous nus, l’armoire de nos atours et bagages vidés, comme à la veille d’un grand voyage en aller simple.
Un baluchon avec le strict indispensable pour partir; que contiendrai-t-il donc?
Un livre, dites-moi lequel?
Une photo peut-être, ou alors un collage?
Une pièce d’identité probablement usée juste pour les frontières nationales, mais les réelles frontières de l’être les maîtrises-je déjà?
La rigueur de la route nous impose-t-elle de revêtir une tenue adaptée, ou bien de prendre et de laisser mourir?
…
Un harmonica, une flute, un instrument à vent pour dire sans les mots et donner sans mendier.
Sur les pieds des chiffons sur lesquels j’ai noté les sentiments marquants; ils s’effacent à mesure que le chemin m’enroule.
Le reste c’est bien peu, bribes de souvenirs en icelui, icelle, c’est Tout, être et avoir été près de vous.
voilà qui suscite une vraie réflexion !!
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oui mais zencore?
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