Treize fraises sur la braise


Avant propos.

Faut arrêter de se la raconter maintenant. Jouer avec les sens les sons les mots et les couleurs, rien à voir avec la vraie vie. Au pavillon des culs-terreux nous avons réservé une place, ne sachant plus où poser nos bagages, libérés de toutes métastases, voilà le fin mot de l’histoire.

1-fraise-noireIl était une fois une naissance anonyme dans une chambre d’hôtel, derrière la gare. Laissée pour compte sans carte de retrait, même pas douée pour le suicide,  c’est l’histoire d’une femme comme on en croise chaque jour sur le quai du métro, le trottoir, un boulevard. Fidèle à nos attentes de faux originaux, de pâles copies conformes, à force de se découvrir chaque matin plus vide dans le miroir sous le néon du lavabo, elle se révèle porteuse du rare destin et entrera dans la légende comme La femme de grand ménage.

Son arme principale est la curiosité, la soif de culture, l’appétit de savoir. Le problème restant entier car elle étudiera les crimes pervers à travers les siècles avant de se mettre à l’ouvrage. Elle les dépassera tous, substantifique ultra autobiographique, déesse de perversité intrinsèque.

Mais il n’est pas temps, le devoir nourricier m’appelle.

à demain?

1 réflexion sur « Treize fraises sur la braise »

  1. oh mais oui je veux la suite !!!!!

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