Il y a les courbures il y a, les lignes
Les dimensions s’empilent, s’imbriquent, se délitent
Notre trace éphémère, humeurs évaporées
Neuroniques sens alertes.
Plats cuisinés aux névroses composées.
Ors et grenats, illuminés en kaléidoscope!
Me & my remington, naked
Il y a les courbures il y a, les lignes
Les dimensions s’empilent, s’imbriquent, se délitent
Notre trace éphémère, humeurs évaporées
Neuroniques sens alertes.
Plats cuisinés aux névroses composées.
Ors et grenats, illuminés en kaléidoscope!
J’aime tes écrits, ce que je lis et vois dans ce blog 🙂
Après je ne suis qu’une amatrice des mots, j’ai peu d’avoir peu de crédibilité pour donner mon avis sur le travail des autres…
Ce qui certain, c’est que les mots semblent t’apprécier eux aussi 🙂
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Merci Lora, ton avis est crédible, je tu il, nous existons ici en signes à travers le nuage, ou là à travers les ombrages et les éclairages, c’est selon 😉
Au plaisir de tes prochains mots
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Le titre de cet article correspond parfaitement à la syntaxe, à la tournure de tes phrases 🙂
Tout en douceur, les mots ondulent, glissent, à l’image de la vapeur, ils s’envolent.
Il y a beaucoup de poésie dans ce blog 🙂 J’aime.
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