“Transe avec les dauphins”
Tendre au naturel, psalmodier nos hymnes à la mer généreuse, nos versets à la terre nourricière.
Sans bien savoir pourquoi, nous embarqu’âmes chambardés,
Tandis que chamboulant les codes nous laissions à quai,
Les blessures pas les cicatrices, sens grand ouverts.
À contre et embrassés, les unes avec les autres, les uns autres, d’aucun ‘demne.
De retour à quai, donnant étonnants, diurnambules tanguants,
Nous voilà votre encor, plus étarqués encor, plus plein plus romanesques, Amor
Merci pour tes passages en mon blog et ton gentil compliment 🙂
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A reblogué ceci sur Oli.W.P.et a ajouté:
À chaque marées des hauts ébats
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