La limite de l’univers est matérialisée comme celle de l’atome qui nous compose, par du rien.
Les multiples facettes d’une matière, qui n’a de première que le qualificatif de l’exploitant, les multiples dimensions, les changements, les décompositions opportunistes n’ont de cesse de me dérouter. Comme chaque matin je me pose devant ce foutu écran pour accéder à travers les amis sur la bleue, aux musiques et mots qui me composent et les composte en un rata touillé.
Je devrai soit disant œuvrer à ce roman premier et pour des raisons qui ma bite, je conchie l’évidence et compisse sur le bon sens. Scato comme jadis catho, ce n’est pas la bonne parole. C’est juste un jeu lassant à l’usage, je vous l’accorde. Alors mi la ré sol si mi, revoilà l’harmonie.
De la pierre multicolore au cortex polydimensionné
De mon respect pour chacune chacun d’entre les Tu les Vous
A l’envie de toucher au plus intime en toi
Se substitue genoux au sol l’allégeance à la vie
Égards et révérences aux douceurs et saveurs
Pudeur loyale dédié à Celles et Ceux
Abreuvés de mots et de notes jusqu’à ce qu’ivresse s’en suive
All my loving