Fi du fat savoir, à la recherche de l’expression crue, tel le primal sauvage je te prendrai…
la Vie. Ne t’appartiens pas. N’attends pas à autrui.
l’Influx. Inconscient au commun, concevable à l’éveillé. Volontaire à l’attaque et en défense, à l’art et la manière.
l’Espoir. Le temps ne revient à rien ni personne. Le monde, l’univers tu ne changeras pas, la matière te confondra.
la Couleur. Le contraste n’est que détournement du noir et blanc. Les portes de la perception autant d’artifices mentaux.
la Mort. Ça non plus ne subsiste à l’analyse intégrale.
…je te laisserai sans vie ni mort, ni œuvre ni mémoire, réalité substantielle réduite à un souffle et puis rien. Retour à la poussière et la poussière au vent, le vent au mouvement et puis, je m’en retournerai. La lumière s’oppose à la nuit. La nuit absorbe les tissus atones vaporisés. Ainsi ils s’en retournent à la force primale, sauvages