Un temps à se cacher sous la surface, un autre à brûler les restes du passé, tout est question de survivance, de l’état de l’art
Au plus profond de la nuit hivernale
Sens-tu le froid glacial des terrestres bassesses?
…
Transis sur le chemin libérateur, nous gravissons les amoncellements putrides de dépouilles gelées
Voués au mépris et à l’indifférence, sacrifiés à l’autel des fossoyeurs fervents
Élévation d’âmes au dessus du lot ordinaire
Cette marche funambule plus que funèbre
Nous autres pitres turlupins et autres comédiens, elles et ils, anonymes
De l’hiver, souvent se protégeant, inventons l’éponyme célébrité des amitiés sincères
D’autres griment la grisaille des grimaces, fardent le fado des fardeaux
Pour s’isoler tremblants au sommet de monts enneigés, et pleurer. Verront-ils un autre printemps?
oui, mais que deviens tu ?
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Oui d’JudJu, je viens et je revien…drai bientôt 😉 Petite période de fatigue(et des problèmes de bronchites à répétition) et temps de repli stratégique, j’ai quelques brouillons de post en jachère et surtout un gros challenge en janvier (roman à compiler)
😉 Merci d’avoir pris des nouvelles, et tous mes vœux de bonnes fiestas de fin d’année ❤
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un roman à compiler , c’est une chouette nouvelle !!!
tu nous diras quand il sera édité , que je l’achète …oui, oui !
à + alors en 2014 et bon bout d’an Olivier
😉
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