JOAN JOHN-JOHN & JOHN, H B 2015 intégral v1.0


(version pdf à venir en fin de semaine, il faut que je ctrl c ctrl v un max) tout commentaire, avis, correction orthophonique ou graphique bienvenues ∞

page 1  – chapitre † (formerly Pô évident de s’y retrouver ) introduction à titre de préliminaire

 ces quelques mots à l’orée de l’été festivalier, intromission d’une nouvelle neuve dont la version provisoire

intitulée « Pô évident de s’y retrouver » à John Beauregard 2015   est jusqu’à preuve du contraire, précaire.

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(…)C’était  tranquille, jusqu’au moment où Les Goaties ont ouvert la brèche spatiotemporelle…

Le voyage jusqu’à Hérouville Saint Clair sous canicule déjà, c’était peu voire improbable…

leffeJ’ai retrouvé Papé François au bar à tapin face la gare, jusque là, rien de bien surprenant:

Le bar, miteux

La serveuse, disposée

Le serveur, pénétrable

Le journal, joliment moucheté de pets divers soufflés de mouches à bœuf tire lignes sans sève pour occuper le quidam, sans âme

La bière, fraiche et capiteuse, ça c’est bon ça mon gars Soif’ran !

Capiteuse : B.− Au fig. [En parlant d’une femme, de sa beauté] Qui excite, qui trouble les sens. Femme capiteuse, charme capiteux ) en v’la un adjectif prometteur de troublantes rencontres caennaises (ne pas confondre avec cantonaise comme la femelle du riz).

Dommage Éliane, permission annulée! Sans dévoiler un développement sus pénal (ne pas confondre) imminent, ça va tourner à l’orgie fatale! Ne pas confondre non plus avec égérie anale par opposition rare à vaginale ou clitoridienne et point encore avec virginale ce qui est de plus en plus rare par les temps qui accourent. Ju(s)tement, parlons z’en.

Ce qui est bien en lointaine province c’est le coté familial, pas bégueule, chaussette en tong, braguette ouverte… Tu demande ton chemin à une jeune fille et voilà-t-elle pas qu’elle répond l’effrontée! Agite ses bras, c’est par ci, c’est par là que tu as envie de lui montrer le droit chemin vers ton plumard. Enfin bon à nos ages il vaut mieux rester focus, le day va être long comme dirai mon cousin de Mont-réal.

CCI14072012_00005Je te passe la visite éclair chez les éleveurs d’cafards, qui nous font visiter la chambre avec vue sur ciné Bijoux et les filles qui tapinent. A la recherche du Kebab perdu, tel deux touristes sexuels allemands en Thaïlande, nous voilà sur le boulevard chez le turc et vazy l’Adana kekab mixte salade tomate oignons, sauce samouraï! Tiens ben y sont déjà là les touristes teutons, trois goinfreux de choucroute accompagnés d’un ladyboy directement adopté à Bangkok! ça va pas nous couper l’appétit pour autant, en emporte nos vents, la faute à l’oignon.

Ensuite, épique époque, nous embarquâmes dans le Twisto des rhinos féroces. Rien que l’embarquement déjà tu peux rhinoécrire une page mais je resterai aussi court que deux possibles (un n’est pas français), rapide et direct au but comme avec ta femme au bureau pendant que tu laves la nevada. Une genre de pochetronne accompagnée de ses quadizomiques. Quatre lardons dont le QI cumulé approche le 100, soit entre 20 et 30 chacun ce qui ne les rend pas éligible à la qualité de triso 21 car le QI de ces différents est supposé être entre 30 et 35. Une belle saloperie que ce classement psychométrique, un peu comme si l’infirmière te mesurait la fièvre en procédant à un touché rectal; c’est imprécis et ça flaire limite. Bon, la vieille peau gueule un brin car les descendant de la rame (ceux qui descendent pas ses enfants à la rame nez de bœuf) fulminent (font la gueule en marmonnant, inspiré du patois bas normand local: ful=total mine=tête de veau); tandis qu’elle investi les lieux sans leur laisser le temps de descendre, lâche lâchement un gaz peu bruyant mais fulminant (rien à voir). Non, à défaut de décevoir mes lecteurs scatadorateurs, je ne décris pas l’odeur; pour ce genre lire le Parfum, de Süskind.

C’est déjà l’heure d’affluence de festivaliers en rut vers le café des images. Mais, fumier de sa race, voilà que la vieille  est reléguée au rang de première dame par un charclo dernière catégorie! Allongé sur la banquette, godasses pourries sur le joli tissu synthétique au motif pastel assortis à son dégueulis presque sec, le chlingos a trouvé le bon plan pour survivre à la caenicule (comment veux tu comment veux tu …). Un filet de bave glaireux vient faire comme la trace d’une limace entre la commissure de ses lèvres et le bout de son bras baland, agité par moment de spasmes tandis qu’il produit des borborygmes insolites. A sa place (je ne vous la souhaite pas) il ferai mieux de consulter pour les apnées du sommeil car il respire une fois toutes les minutes ou deux, peut-être il se rêve Jean Marc Barr dans le grand bleu! Brèfle, c’est plus Byzance et pas encore Constantinople. Pour compléter le tableau, sur le bout de la banquette deux grosses mangeuses en pré retraite de la fonction publique se délecte du spectacle de l’enflure qui menace de se vautrer au sol à chaque virage et pis lors du freinage du tram! Tout ça nous amène sans ennui aucun au sus-dit Café des images quand avant de descendre, une demi jeune peau (la quarantaine bien joufflue abreuvée au lait de vaque indigène non écrémé) nous tance de sourires rosis et autres mimiques érotogènes en confirmant que c’est bien là et pas au terminus que ça se termine. Hardi(y) (vous m’avez dit de dire) allons-y dont enfants de la pâte-riz, l’andouillette suisse normande nous appelle!

page 2 – chapitre †

IMG_9719XCe que François ne sait pas c’est qu’il ne sait pas tout. Enfin il le sait loyalement globalement probablement partiellement et ment et ment, mais pas vaginalement ni touriste allemand (décidément il semblent qu’on est pas près de s’en débarrasser des chleux! )…le profil d’enseignant gaucho jeune vieux post soixante-huitard laisse supposer un bon degré d’humilité et l’ami de longue date n’en manque pas!

Depuis quelques jours déjà je hante les coulisses du festival pour contrarier le projet satanique de quelques métalleux nostalgiques des back rooms orgiaques du III ème Reich, en fin de son règne. Ces dégénérés du bulbes sont bien relayés, en nos campagnes normandes comme dans les banlieues et autres provinces, par des racistes cranes rasés de si près que le peu de bourrichon dont ils étaient pourvus est parti avec les racines et les tifs. Nous sommes tous bâtards bande de simplets pas Charlie !

Bon, restons calmes, je vous explique.

HF2015_home_artistes_frTout à commencé au Hellfest 2015 où je ne suis pas allez non plus, officiellement. Mais comment résister à l’appel du 19 vin 21 juin? à Alice Cooper? à ZiZi top, les poètes de Korn (and friends) et SlipKnot, Slash ou Billy Idol (culte !), Limpizkit, Motörhead (Motörhead vus à Reading en 79 avec Police, Gabriel, …) bref, une affiche de métalleux à travers les ages! Oui, non donc, je ne résista point, et faute d’un corps en l’état, j’ai délégué par voyage astral interposé mon esprit dérangeant (dérangé toi même) à une charmantebeautiful sexy gothic girl - Belle photo sexy femme gothique punk-gothesse bien roulée, histoire de ressentir le frisson de la délurée femelle, ça va me changer de mes mâles ruades quotidiennes (!)  *

* vous cons-tâterez que le ! entre parenthèse ça dessine assez fidèlement une (!) …

L’objet de ce déplacement symphonique est à la gloire de Saint Phallique, patron des agitateurs de semences à tout va, soyez soyeux, il y en aura pour tout le monde. Cette croisade tend à remettre les choses à leur place ou du moins dans leur écrin, bien lubrifiés au chaud, et, en contrepoint à punir les déviants fascistes. Ceux-ci seront soit privés de leurs organes reproducteurs, ou bien stérilisés voire éliminés, selon l’inspiration et la musique ambiante au moment des faits. Ne vous y trompez pas, il s’agit d’un cadeau qui leur est fait, une fin des fins glorieuse en musique !

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http://lorazombie.com/

Autre indice important pour saisir le propos dans sa dimension multiple et duplique (se référer à l’amphibolie de l’infini et de l’identité pour simplifier): les choses ne sont pas ce qu’elles semblent, les individus ont une identité « à priori » et puis en creusant un peu, on risque de toucher le fond ou bien de tomber de l’autre coté de la boule (en plus si c’est la mer là bas et bien bonjour la fuite!)

Rien que votre dévoué narrateur, à l’image du dessin ci-contre (merci Lora, nous ne nous sommes jamais rencontré et pourtant, je t’aime) est une sorte de panda punk punkette, goths en fusion.

Et voilà le moment revenu de conter le premier tome (court je vous rassure) des pérégrinations de John John …

 (…) sueurs, bières, poils, fumet écœurant, sol gluant, vapeurs chimiques et végétales, cigares, cigarettes, joints, pets, sommes nous sur terre? au purgatoire des anges des enfers?

Perdu dans l’escalier de Dante je descends et puis je remonte, eaux et gaz à tous les étages, quand je rencontre Zette. Son prénom c’est Louisette, plutôt mignon mais la jeune adulte rebelle renie ses origines rurales comme elle peut. Au chomdu depuis sa sortie des études, elle fait les saisons avec parcimonie, juste de quoi payer les festivals d’été et les conserves, surgelés, fast foudings arrosés de kro tiède ou quand c’est fête le Jack Daniels coca glace (brrrrrrrr) . La bougresse a fait son droit, licence (bac +3, ensuite c’était déjà trop, sauf si un jour elle prend un bar, il lui 1084-girl_poster_PDFfaudra alors la IV), faute d’inspiration et pour plaire à papa qui lui réserve depuis toujours le rêve de la voir épouser un banquier ou un avocat! Et puis le binge drinking, spring break et autres orgies estudiantines on terminé le travail de lobotomie. Je la décrète première sacrifiée, elle ne doit pas se reproduire, le mal est déjà assez pénible en l’état où elle s’est démise…

Diagnostique… prescription: addiction à l’ivresse et autres drogues, perceptions diverses affaiblies pas les abus, foie malade, sang impur, neurones atrophiés, s’est récemment offerte à un gang bang dont il résulte une grossesse à risque d’un père indéterminé… ablation de la langue et des ovaires. Ah j’oubliais, en fan d’Hannibal qui se respecte, il est de mon devoir de transformer ces prélèvements en denrées fines, en l’occurrence un délicieux pâté de terroir légèrement parfumé au muscadet local.

Comme elle s’est affalée à mes pieds, je lui propose aimablement de s’accrocher à mon avant bras et l’entraine derrière une bâche pour entreprendre les soustractions.

page 3  – chapitre †

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 …de l’autre coté de la bâche, du miroir, du Rubicon, seuls les énarques ne changent pas d’avis ou bien se plient à l’avis d’un x. Autant dire à un pied maure (apatride) ici vivant « alors Maurice, y vent(d?)? ». Celui ci vous louera volontiers la météo à prix coutant plus taxes et taux divers, dix fois ce que ça vaut pas.

Alors je la regarde, et puis le ciel

Le bleu est blanc, le noir mat je mate aussi, l’air brillant

Sa main est fraiche, molle mais pas moite dans la mienne, vierge affaméeandouillette-pommes-de-terre-1w

Promesses d’andouillette frites à l’ombre et je suis enivré, la moutarde me monte au front, me voilà nez à nez avec cette autre fatuité, réalités diverses où s’entremêlent saveurs et textures en sauce, elle réduite, et lui, oh moi, déconcentré. Comme un flash de sucre brun grillerai à jamais neurones et synapses d’un faf du gud, ce gros chibre avec ses oignons m’emporte aux confins du pays merveilleux.

Dans la rivière de lait trempant mes animelles au miel, je me délecte en court circuit, en tête à queue. ‘Spèce d’entêté aqueux !

La fille au regard éperdument reconnaissant respire, épargnée. Au moment fatidique de gouter l’andouillette, la voilà qui hoquette, et se met à danser au rythme des trois à cinq prêtres; j’ai du mal à compter leurs soutanes entremêlées.

À ça, sein près, sa joue rose s’y appose

Tandis que s’introduit la langue entre les miches du sien(*), elle s’interroge sur la glose de la mienne (prose).

(*) voir prose \pʁoz\

L (Zette): tu peux ?

I (John John): Je veux

L: whisky?

I: un doigt

L: oui mais avant, tu veux un verre?

I: je suis à toi87410087_p

L: moi à tu

I: nous deux on va tuer la mort

L: c’est beau

I: à perpétuité

L: tu as la plume

I: ton sang sépia en fleuve d’éternité coulera

(…)

Ils embarquèrent alors à jamais vers nulle part, et là encore je vous emmène

page 4 – chapitre †

1921534837nda (note de l’autiste, extrau-introverstiste plus précisément): à l’orée (olé!) d’un nouveau chapitre j’ai souvent un sboub de la micro taille d’un page. Oui un, page-agrafe juste bon à lever la jupette pour voir qu’est-ce qu’il y a dessous, et accessoirement pédaler sur la croute saoul ou à jeun, pataugeant tel le cajun du nord d’est, acadien alsacien (voir collaborateur) dans la choucroute, rien à voir avec sinon une digestion difficile propice à l’insomnie.

=> et la tite chatte(1) punk de m’regarder d’yeux de (1), miaulant une caresse que je lui octroyasse volontiers bon prince; du bout de cet organe réputé jouissif chez les paraphiles à nougats.

(…)

John John s’est donc engagé dans la croisade moderne (mais pas tant) de « tuer la mort ».20_hellfest_2015_10_ans_biere À sa suite nous connaissons déjà Louisette et les voilà douteux, tous deux, dans les méandres du Hellfest à la recherche de disciples. L’embarras du choix. Deux litres de pâle ale plus gris, ils tendent au charbonné, funeste vers le noir,

funèbre désespoir.

Bêtes et barbacoles, les chiennes louves transitent entre chien et loup, et puis durant un long, long crépuscule, les anges noirs abêtis sont désinstruits. La plaisanterie mortelle s’installe.  L’aube les délaisse hébétés, hébêtés, ni lisses ni polis, en rémission. Ceux qui morflent sont les satanistes désuets du premier cercle, les primates du premier degré seront les derniers à se relever. Leur caillou en peau de zob autrefois toqué de cérébrale calvitie se trouve remplumé d’un fin duvet soyeux.

Tandis qu’ils entonnent se prosternant un cantique pré punk suivi d’un requiem symphonique  les rampants boiteux, serpents et canidés sont rassemblés pour l’office. Le révérant JJ(l’autre B. à la fin mais déjà ça allait pas mieux) leur donne en communion une rondelle d’andouillette, une gorgée de porter, et les voilà rêve-errant comme les enfants au square (…)

monodactylus-argenteus-juvenilePendant ce temps assis sur la rive je tu il choient

Libellules brillent à fleur d’eau

Bulles irisées de poissons lunes à la tribune

Amateurs d’eaux douces, salées, sans amertume,

Vois fleuve d’éternité à l’infini s’étire

Tandis que rassasié je m’étends las comblé

page 5 – chapitre †

Comme dans toutes les histoires d’ΩΛ¡ un évènement imprévisible occurre (à ajouter à votre petit robert et collins larousse). En toute partielle humilité, si vous arrivez à prévoir ce qu’il va se passer vous êtes devin car moi (lui même je personnellement son scribe) n’en savons rien avant de l’écrire. Possiblement des scénarios s’élucubrent dans ses errances oniriques ou en subconscience, mais à l’insu de notre plein gré.

(…) La bande d’apôtres s’est déjà bien étoffée lorsque survient Joan.

Pour faire bref, il y eut Louisette Bernadette et Thérèse: trio gagnant d’amazones basse-normandes qui vont nous amener à rallier Beauregard après l’Hellfest, en un « Elles Fast » à faire pâlir les euro-méditerranéennes mules trafiquantes  de résines et herbes qui rendent gnamgnam (*). Pour garantir la possibilité d’une hydre sur l’île du docteur Morteau-Wellbeck, et pour jouer aux sept familles les soirs de pluies, nous voila 6*7 !!!

(*) prononcer nian-nian ou guenang guename. Ps: l’abus de substances est déconseillé, car au pire à lait, ça peut te rendre Gnan-gang style totally Psy, j’en veux pour preuve cet édifiant document visionné par plus de deux milliards de sexy djeunz. Stop décagangnam style . Et puis totally spies hair style non plus !!!

Et Joan

un-punkdernière digression sur cette page, promis, je sais combien ça peut gaver, Frédéric Dard me l’a infligé si souvent!

Et Joan oui, celle qui laisse ses moutons … mais revue et corrigée (elle aime ça la coquine) post keupon mariage pour toutes, swag! Pas de cheveux, pas joyeux; désolé mais le risque de la calvitie fashion c’est une mauvaise protection thermique du cortex et une déperdition irréversible du temps de cerveau disponible…

Joan: tu prononcera trois fois mon nom tandis que l’autre, avant que le coq chante deux fois, renieras trois fois son pote chevelu

John John: « 3x2x3 =18 alors que tout à l’heure nous étions 6×7, 42

J: Désormais, tu seras comptable de nos châtiments rimes et déprimes; je te baptise Lacrimâle featuring 2 mètres Grimm (pour expier tes nombreux péchés question rime, tu feras une analyse du « texte » de cette chanson…dar!)

Nous partîmes 2 mais par un prompt renfort nous nous vîmes 60 en arrivant au porc (Chez Ginette, andouillettes frites à l’ancienne) fûmés, tant va festivalier au joint qu’à la fin il est en pétard, foncedés.

En chemin nous eûmes à l’heure du thé le loisir délicat de voir sur scène et d’entendre (ainsi que veaux vaches cochons & agriculploucs à dix bornes à la ronde dixit la sono). A l’unanimité de mon choix, en voilà quelques extraits jouissifs et appropriés à une bifore hard métal balancée:

Limp Bizkit Ready to go (avec copain Lil W.)

Marilyn Manson Killing strangers

les gentils moutons à tondre alias Lamb of God – Overlord

et les excellents doigt sur la détente belge Triggerfinger

http://www.youtube.com/watch?v=g4yhaioA3Co

 

sans oublier les déjà suggérés :

Alice Cooper

ZiZi top,

Korn (and friends)

SlipKnot,

Slash

Billy Idol (culte !)

Motörhead

 et bien d’autres, servez vous c’est cadeau ! http://www.hellfest.fr/fr/artistes/

à suivre, pourvu que ça dure Durdur me dit le Dirdir…

page 6 – chapitre †

jeanne-gbvi_gaumontJoan Dark revient

et

elle est en colère

« Messieurs les anglais, tirez les premiers » que j’entends haut et fort en passant le contrôle de sécurité !

Lemmy-photographed-at-the-006

Enfin « contrôle » c’est un bien gros mot, le vigile est plutôt en mode accueil non intrusif ce qui facilite la pénétration dans les lieux avec un demi litre de breuvage illicite transvasé discrètement dans une bouteille de aïss ti (aucun placement de produit dans cette rubrique)

tatouage-par-l-aiguille-tattoo-sur-le-haut-du-bras-une-vierge-illuminee-priant_147426_w620Discrètement suivis des 60 pâtres en route pour ad patres,

John a la verge, Tataouinée

Impudemment précédé de conclusions hâtives et idées précirconcises,

Joan voit la vierge, Illuminée

Réunion d’équipe, odj: distribution des missions, motivation, questions diverses

J: Mes biens chairs frais, l’heure est venue, fourbissez vos pieux. Mes biens chairs fraiches, affûtez donc vos fraises

JJ: il faut quatre volontaires mâles pour la première mission si vous l’acceptez. Nous avons identifié les quatre membresses des Crucified Barbara comme de potentielles porteuses de messies. Vous vous présenterez à leur caravane costumés selon les critères de « From dusk tull dawn » dans cette scène, au choix le curé, le Georges C., l’animateur alias Machette, un musicien sud américhicanos :

(John John met en marche le projecteur vidéo pour présenter le contexte recommandé)

http://www.youtube.com/watch?v=qnJJ2fojawE

L’œuvre de votre vit viendra, après la prestation live enjouée des mademoiselles Elles Angels dont vous apprécierez sinon le son et l’originalité du show, la capacité indéniable des diablesses à « donner de la tête »; surtout ne traduisez pas cette expression mot à mot en anglais, ou bien on va vous taxer de myso pervers et vous savez que nous n’en sommes pas, il s’agit bien de décrire les petits coup de tête d’avant en arrière en rythme avec la mélodie téthale, du gaullois téter (jusqu’)à la petite mort. J’en veux pour preuve un monument du genre signé Lewis Alan R. Doo doo doo doo doo doo doo doo doo

(…) Candy came from out on the island,
In the backroom she was everybody’s darling,
But she never lost her head
Even when she was giving head
She sayes, hey baby, take a walk on the wild side
Said, hey babe, take a walk on the wild side
And the colored girls go,

Doo doo doo doo doo doo doo doo doo (…) (c) Songwriter LEWIS ALLEN REED

(…) je dirai même plus, ils s’aimèrent plus.

 » Tant va la tête au pieu qu’à la fin elle est pleine » (citation ΩΛ¡, catalogue « tant va, t’en va pas »)

…à la trace ou à l’odeur, à suivre

  page 7 – chapitre †

Tant va la belle au but, Que la faim elle rassasie

(citation ΩΛ¡, catalogue « tant va, t’en va pas »)

apéritif mytho-goth:

(…)

C’est en entrant dans la caravane que j’ai commencé à ne plus douter. Nous avons bel et bien  affaire à une suppositrice de bells & butt! Les cloches de Belzébuth et le fessier de Joan apparaissent en gros plan, j’étouffe sous la touffe de Belle et les glands de Bête. Le fabuleux maître fait bien deux mètres de haut, et 25 cm de profondeur, hourra au maître rouge et ses marguerites ! (intro par le Tsar  Vlad, spéciale dédicace aux dissidents, FG se reconnaitra-t-il?)

Ça flaire plus le purin que le soufre,

je souffre tant qu’adultérin torturé

 » Oh, utérin regret de n’avoir jamais de remords !  »

(citation ΩΛ¡, catalogue « vaginal et analysable »)

 

Comment en sommes nous arrivés là? C’est la guerre qui rend fou alors, pourquoi la guerre? Pour se venger de ceux qui nous l’ont faite? Pour vendre des armes et retourner à la poussière?Le métal contre le bio?

Contre vents et marées,

le vent, le feu, reconnaissants

Skenes_gland
oui c’est un peu clinique mais si ça peut aider certains à s’y retrouver dans le feu de l’action, c’est pour le bien commun !

Sachez que la charge de scribe du narrateur est particulièrement éprouvante , et je compatis par avance avec vous, nous lire doit peser son poids. À chacun son fardeau, ses valises et autres lieux de bienséante aisance, communs. Cependant, être d’engagement j’en fis un sacerdoce, tout sera relaté avec la plus transparente objectivité. Les quatre membres actifs (la grande classe, ils sont pas venus pour rigoler) s’introduisent donc en la caravane des suces citées ( cruxi-sacrificatrices ). À la queue leu leu les carnes (leu=loup en vieux céfranc, où l’on découvre que l’amour britton serait inspiré du french « love » cf. se lover). Comment ils se lovent, j’ai peine à décrire. Un obscène mélange de cheveux gras, odeurs de vieilles graisses froides, pissat de suidés, amusettes de l’amour jusqu’au faîte, l’orgasme, les éjaculations cons-jointes de méconiums, spermes et matières diverses, en jets, geysers, giclées, larmes ou goutte à goutte. C’est selon. 

Ils terminent post coïtales et coïtaux, tels cybercitoyennes pleines et assouvis nains. J’en reste coi.

Pour finir cette page instructive, je vous convie à la lecture de l’ouvrage de mon confrère (quel frère celui là) neuropsychiatre et neurobiologiste (oui je suis psy et logiste à mes heurs) :

 » Baisez bien !
Suivez les conseils de Jean-Didier Vincent.
Pour ce neuropsychiatre et neurobiologiste qui décortique avec humour les attitudes des mâles et des femelles dans son dernier livre, Biologie du couple, il est une évidence : comme les animaux, les humains ne pensent qu’au sexe. Alors, « Baisez et tout ira mieux ».  » lire la suite dans Siné mensuel

à suivre …

extrait:

http://www.sinemensuel.com/
?
http://www.sinemensuel.com/

page 8 – chapitre ††

PeyoteHealingmise en œuvre de l’ouïe, cliquez ici puis revenez sur cette page en laissant faire le chaman

ch. (†) †† (†‡ ‡‡) : un certain nombre de petits indiens

où l’on découvre ce qui précède à l’intromission, relève le jupon

(…) Il s’agit de s’agiter pour emplir le néant. La nature a horreur du vide dit’on (voir en bas de page *).

Pourtant pas si compliqué d’assumer ses responsabilités non? Tu dois garder les poules, tu laisse pas le portillon du poulailler ouvert, alors tu dois lutter contre le néant, le vide, la mort, tu mets la musique et puis après Ingrid, est-ce que tu mets un dièse à la clef ? One sharp with psycho billy, let’s rock !

Joan interpelle avec autorité les trois petits indiens, à ne pas confondre avec les mémorables et injustement méconnus 10 petits indiens.

Joan: (en bas normand dans le texte) Dis donc toa, ça va?

Joseph: pô évident, on a la boule ô vent’e avant de passer sur scène

Joan: justement mon gâs, j’ai une surprise pour Felix Martin (manque potin et jacques) et toi . Votre récompense après le concert, mission incessible que vous ne pouvez refuser: inséminez, jouissez, faites jouir, partagez votre bonheur d’avoir fait celui des festivaliers !

Un minibus d’étudiantes de l’internat international voisin s’est égaré lors d’une visite à Lisieux, nous les avons recueillies pour vous. Elles vous seront offertes, vous les féconderez; votre progéniture sera conçue sous les bons hospices du Docteur Feelgood (boom boom boom boom), génicologue du rock and roll recommandé par tous les spécialistes.

Joseph: bah, merci madame mais moi j’aurai préféré être en pompier, c’est mes copains qui ont choisi indien, vous croivez que je pourrai me changer après le concert pour aller asperger les filles avec ma lance?

Joan: bien sur mon petiot, tu pourras même garder le casque! (vivement recommandé pour votre culture générale, l’affaire du docteur petiot, une référence)

Joseph s’en fut immédiatement conter cette étonnante prophétie à ses collègues de Goaties qui, bien sur, rigolèrent zun brin jusqu’à la fin du concert. Il faut noter que ce moment de punk rock américano-indien parfumé au bon calva nous a enchanté, je dirai même plus, empogotés orthostatés, pâ mon binôme Swafran? (je vous le présenterai dans une page à l’avenir très prochain…)

Ainsi commence la prestation des indigènes de l’étape, laids dits & gens, The Goaties ! cliquez ici pour j’aimer la page facebouc

 Ce qui se passe ensuite sera détaillé dans la version longue de la présente nouvelle. En résumé, à la sortie de scène, tel pierres qui roulent les Goats sont pris en charge par nos imprésarios. Un inséminodrome improvisé derrière les tentes à cervoises fera office d’étable à avènement conceptif. De la paille à même le sol, parfums suggestifs de saucisses grillées et frites huilées, et brumisateurs au patchouli pour faire genre love et cuisse, peace et mauve. Oh joie, oh félicité! La douzaine d’étudiantes en langues furent rapidement et bruyamment fécondées, honneur aux belles et buts, la famille va s’agrandir!

à suivre

cf plus haut * On, vous savez, ceux qui ont laissé échapper les poules:

 dictée pour les vacances: les poules s’étaient échappées dès qu’on

leur avait ouvert la porte; trouvez l’autre orthographe possible à cette phrase….

solution…les poules s’étaient échappées des cons

leur avaient ouvert la porte (blague culte de mon enfance traumatisée de nul en orthographe)

page 9 – chapitre ††

se peut-il de bafouer à l’entour avec parcimonie, ou mieux vaut-il pardonner intrinsèquement?(citation ΩΛ¡ catalogue « tant pire pour tôa »; célèbre sujet de philo au bac 2020, année charnière: abandon des chimères existentialistes et toutes voies méthaphtisiques; expérimentation d’une approche du Tout en 7 dimensions )

lire la page précédente
reprendre au début de l’histoire 

cat_why_do_you_hate_me_xlarge(…) il est temps de commencer les allés-venues entre John et Beauregard. Ceux-là aurons beau nous jeter regards et autres postures suggestives, pas de quoi fouetter un chat qui mord pas plus qu’un cheval mort (qui cependant insiste afin que les moyens soient justifiés).

La Marmozette gueule comme Joan au bûcher, son dildo est-y en court circuit? Les Marmozets speedent comme la fois où qu’y z’étaient trop dosés, adrénaline à lapine, sérotonine à Proserpine, dopamine et hydroxytryp’, te mine pas ça ira mieux après une heure de tapine.

À la question pourtant bien posée, is it horrible?

La réponse est oui c’est limite unbearable . Nous en profiterons pour aller boire un beer ce qui ici est juste une question essentielle sinon fondementale (entre fondement et mental). Pale ou sucrée, artisanale ou importée, le plus sûr (mais pas sure, à l’amertume légère ou piconée) est encore de toutes les gouter. Ceci me permet de dériver dans le courant en remontant au vent, et ainsi, aller là où je ne m’attendrai pas; tant qu’à faire autant ne pas se rencontrer à l’heure dite et à l’endroit précis, sinon, autant garder la chambre et aimer à distance, dixit Oblomov.oblomov1

Les goûter toutes, en restant allongé, un bon livre et une bonne BD, un fruit, du chocolat, quelques galettes sablées au beurre salé, à l’occasion un thé nuage de lait, un alcool, un café (*). Un des traits caractéristiques de John John est ainsi à double sens et contrepoint: amour et plaisir sens dessus dessous sans dessous, sans cesse sucer ou être sucé, telle est la suggestion.

Nous voilà abreuvé, grâce en soit rendue à Swafran, le partenaire franc de la soif. Mais qui donc est ce personnage discret et pourtant bien plus important ici qu’un paparazzi chez voici? Avant tout il est partenaire de boisson et confident. Avant de révéler cette histoire je lui demande de veiller à la cohérence du propos et la fidélité du récit. Tel l’ Argonaute Orphée il a bon cœur et participe de toute son âme à résister aux sirènes, en vain, et en vin il se distingue. Un teint révélateur de l’expérience du foie à l’épreuve de la foi, et vice et versera! En toute cause le mec imparable avec qui tu peux faire le tour de France en mob ou l’Everest à dos de dzos! Lama Lobsang Swafranc ne rampa pas, mais changea la piquette en grand cru un soir au coucher de soleil à Émilion,. Depuis, nous n’avons cessé de sangtéter à nous entetêr (étymologie: sang-têter = boire le raisiné de la sainte vigne; entêter= s’en mettre trop plein la tetê).

Revenons à nos podiums. Je vous passe Talisco qui se prend pour un autre du coup il se vend avant même le succès, excelle à se faire aimer des fausses grosses sauce de basalme. Sans rancune, la bière est fraiche et il fait pas beaucoup de bruit.

Arrive un vrai bon moment de rock avec The Strypes ! Trop fort les mioches, Joan en trempe son armure en 974892596pogottant comme une kepun infusée avec deux litre d’absinthe diluée de houblon.

http://www.vevo.com/watch/the-strypes/Scumbag-City-%28Live-Sessions%29/GBUV71500556

Ps: aucun placement de produit j’ai déjà dit et Swafran a renchéri en disant que si les groupes et autres suces artistes cités  se reconnaissent, risque d’y avoir de la procédure dure, mais rien à secouer. S’il le faut remplacez les noms, photos, lieux, situations qui vous rappellent quelqu’un ou quelque chose par d’autres et alors, toute ressemblance avec d’autres fictifs ou réels serait purement fortuite et ne pourrait conduire à engager la responsabilité de l’auteur ou de son scribe.

~~

Brèfle à quatre feuilles (format familial pour partager avec les bédaves à patate).

Joan: faisons d’une ponce trois coup de lime, qui est volontaire pour abraser dans l’ordre

Les poupons en strip? (les 4 ados électrisés )

Flo et son orchestre? ( 11 éclectiques polysexués, on se croyerait à la fest noz )

Juju à l’or fin? ( 7 popeurs clichés mâles mais pas trop, bon chic bon gendre, le genre qui méritent quelques sévices avant de les honorer de vos orifices)

22 vlà les géniteurs et porteuses qui se désignent volontaires et s’en vont qui la fleur au fût, petit soldat au garde à vous, l’écouvillon bien peigné, portefeuille à moustache entrouvert, bénitiers et vulves, encensoirs et phals. Comme précédemment je ne pénètre pas dans les intimités, version courte oblige. Et encore une bonne vingtaine d’heureux évènements sont planifiés à la maternité pour février mars XVI (croix vé bâton)!

La prochaine page fera hommage au guitariste culte de The Smith.

Puis le final comme il se doigte honorera le dard de Sting.

En attendant, soignez vos ouïes, elles sont plus érogènes qu’il n’y parait. Je dirai même plus, les érogènes zones étant bien plus nombreuses que celles dissimulées en vos pantys, soyez soyeux les uns envers les unes, les unes envers les uns, les autres envers les autres.

à suivre

* où l’auteur descend pour nous conter la genèse et floraison multiple de son affection:  la maladie de la boucle bouclée, où le lecteur est l’écrivain est le personnage, autant de fois que de livres, jusqu’à l’extinction de la bougie. Prochainement à suivre d’un petit flash berk sur le parcours médical du patient oppressé.

page 10 – chapitre †‡


⊆ ni sourds ni aveugles ∉ ni proxos ni libres ⊇

(citation ΩΛ¡, catalogue « putain de sous remise »)

The Smiths
Paris
02/12/84

 

ch. († ††)†‡ (‡‡) : un certain nombre de Smithsoniens

The Smiths Paris 02/12/84Ce n’est pas très punk de rendre hommage mais après tout John, John John et tous les John et les Doe de la planète musicale ne furent ne sont ne seront pas kepon (que punk), rock, pop, jazz, rap, funk, soul, classiques ou modernes.

«NME»: Ses riffs magistraux, ses arpèges cristallins, son efficacité pop…

Plus ou moins effacé mais terriblement présent dans l’ombre, la fumée des machines et lumières tamisées, thèse et antithèse du grateux soliste; à la fois front man de taille moyenne aux doigts de djinn et oreilles d’Apollon, il passe inaperçu pour la plupart des nez de bœufs à vue courte (cf. le lecteur ou l’éditeur à qui on adresse pas ses brouillons pour pas qu’il regrette un jour). Comme John John, John se complet entre mille partitions, tantôt compositeur, arrangeur, parolier, il est synthèse.

A Beauregard il va nous gratifier d’une prestation intemporelle et désinvolte, à la oldies but goldies mods. Petite incursion dans l’univers du guerrier musicomane armé de guitares…

full of explosive gibsons like fenders by the chimney, he belongs to the fire,

débordant du cocktail explosif comme un pare feu près du brasier, il est feu

~~

Tandis que John et John John et les festivaliers font un pas en avant, un pas sur le coté, un pas deux pas quelques ci et là, that’s money money nous rappelle à la réalité du marché, un rien, en si ou la, pogoteux debout puis assis et las.

(c) That’s easy money
No spend no sum no lays no claims
And there’s no pain to play
No free fortune so let’s just slave
No rainy day better come this way
Working for it all
But it’s money money
That’s money money
That’s money money
Watching human fall

19484130
listen to Inception The Soundtrack Best Of https://www.youtube.com/watch?v=IpX_EDXjz9g

rien qu’une ride sur le temps

mousse éphémère fluctuante

brisée par le souffle des vents

et puis retour à l’océan

reviens, au début juste après la fin.

~~

entre actes: Au val d’airain, pour terminer tout à la fin, rewind. Puis entre bonbonne hier et reins demain (tel péniche entre Rhône et Rhin), je vais et je viens ♥

~~

 Joan observe, ex-pucelle fantasmagorique vivant le premier orgasme virginal de tous temps; viendront ensuite le vaginal, anal, clitoridien, aristotélicien, non-euclidien, errhine errhin et poom poom tcha!

Joan: Mes biens chers bénévoles de la reproduction, il est temps d’élever le niveau à la hauteur du bénitier ! Hourra Vierges1745464106_1 de Brocéliande faites visiter vos jardins secrets à la recherche de la bonbonnière magique, dégustez conques, ouvrez la boite à ouvrage, effeuillez dont la marguerite à barbichette, allez crouillats ! Queue les arbalètes flèchent droit au butt (nde:pas de placement de produits comment il faut te le dire)

Popol petit zozio que ton zboube enchante rossignols et craquettes, Banane fais toi plaisir, une bonne salade de fruits, jolis jolis jolis, fraise, abricot, bouton de rose à berlingot,  rince-ici, soie sur l’île!

Ces quatre là méritent un service harmonieux, mieux que bien, une montée aux rideaux (après le levé et baissé sur la scène John). A l’occasion si vous croisez Johnny et trouvez une fine saillie (non pas un fist fuck) pour lui demander, un ou une chanteuse dans son groupe ça pourrait-il le faire? En attendant, nous lui avons prévu un plan avec la mère d’une copine, j’espère qu’il appréciera car même pour une légende il n’est pas légende, c’est dans les vieux pôts (évident).

~~

ps: la copine s’appelle sœur Morphine(1) alias Sister M(2) spiders_icecream_morphine_artwork_widescreen_desktop_1680x1050_hd-wallpaper-12768

comme nous l’avons déjà constaté

tout abus est dangereux…

et tant tentant pourtant ∇

Respect aux Marianne

merci à au créateur pour les fleurs et le chocolat

~~

Je vous laisse imaginer moult galipettes, bigoudis et craquettes, œufs mollets et mouillettes.

Post coïtaux, en pâmoison, extatiques

Il est temps de penser aux statistiques des bourses, y-a pas que le cul dans la vie, si?

Interlude, pour se détendre après et avant l’effort:

« C’est pas le tout de se tirlipoter le schmilblick tout seul dans la tante (voir « chez ma », là où j’ai mis les bijoux de famille)

aucun rapport, ou alors sans protection

http://www.youtube.com/watch?v=bUdhyn2HofE

En conclusion, les festivaliers de Beauregard pour tous ne passeront pas par moi, y sont trop nombreux. Alors, à toutes les oncles, tantes et pétoncles, lavez dont votre linge de baptême sale en ascendance, descendance et contemporaine déchéance, qu’j’en ai à battre? Fuck off

à terminer en fanfare tel un phare à fan avec Sting

~

chapitre ‡‡ – page 11 et presque fin

# dièse à la clef ∉ b bémol à passe-partout ℑ

 

Pré en bulle (où dans le pré on bulle) puis on ambulle (voir : École ambulatoire. Enseignement temporaire et mobile regroupant autour d’un instituteur ambulant les enfants de différentes communes). Comment veux-tu comment veux-tu que canicule ? (sur l’air d’un tradéridéra)

Un temps pour le beat, un temps pour satan 95872963_o

car satan son beat est sharp comme mon chrono à ōgazumu….

ça me rappelle une conférence sur l’habitat urbain. Les deux colocataires Satan et Urbain en vedettes américaines après Monseigneur Trude, cardinal émérite toujours pas dénoncé par les nombreux enfants en chœurs à qui il apprenait  le latin à coups de langue vivante, tandis que biniou-jointivement en musique ils piaillaient:

« non ! non ! pas encore cette bite rude en mon étoile du verger… »

 ® toute ressemblance avec ….purement fortuite et ne pourra donner suite à des poursuites ou alors autour de la piscine cul nu ou bien après la quête fesses à l’air dans la nef quéquette comme un aéronef se pose à potron-minet tel un pétrodrome Rhynchocyon_petersi_from_sideen terrain miné  par les taupes.

Solidarité avec ces petits mignons

~~

Alors, cette journée fut-elle bonne? Question fûts, rien à redire: cervoise fraiche, huitres au petit blanc ou saucisson beaujolais pour les amateurs, frites et grillades en veux-tu en voilà. Nous avec mon binôme c’est pour deux raisons que nous sommes venus risquer de la perdre (la raison pas la virginité contestée de nos rondelles):

  • andouillettes frites à l’ancienne arrosée de bière(s)
  • Gordon Matthew Thomas Sumner alias Sting, et ses amis inattendus en cette terre de viking où les maures sont supposés avoir été repoussés en deçà de Poitiers… Yalla cousins ♥

Avec un mélange de faisceau d’indices et de doute raisonnable, il convient de parvenir à l’intime conviction qu’un artiste comme Gordon, il peut mais ne doit pas faillir à son œuvre; pas foncièrement majeure, souvent mineure, septième, à la quarte, hors la carte, intime, instinctive, bienveillante, humaniste. Nous n’avions pas révisé ni notre Police, ni nos Sting, alors, yalla, advienne que pourra.

Repus déjà des cadeaux de cette généreuse journée, Les Goaties, une bière, Marmozets, une bière, The nouvelle-tendance-le-jardin-vertical-20Strypes, une bière, Johnny Marr, deux bières, pas Talisco mais Florence and sa grande gueule pas mal mais plutôt se taper la queue avant pas Julien mais andouillettes frittes à l’ancienne, merci mon gâs. Nous voilà assis dans la grange avec des palettes remplies de terre et garnies de plantes puis dressées à la verticale, dégustant nos remontants (andouille, frites, bière faut suivre un peu merde). C’est là que Swafran fait l’erreur de me laisser seul, s’en aller soulager sa prostate ou son pot d’artifice prime sur ce moment de calme avant que je m’étende et pète (« pète et répète sont sur un bateau, pète tombe à l’eau, il reste qui? Répète; pète et répète sont sur un bateau, pète tombe à l’eau, il reste qui? Répète, …). Discrètement dans mon coin, sous le vent et moins bruyant que The Machine, j’exulte à relents forts mais discret.

« oh belle rose étoilée, oh anis vert brulant, n’ai-je dont tant vieilli, pourri sur pied que pour cette dolomie?

tant et tant jouissent en stéréo et sans monotonie de sodomites gonorrhées,

moi j’ai le feu aux tripes et le jonc qui plie mais ne rompt . (prononcer le point gras). »

déclama-t-il soudain épris d’une verve épique en fusant aux latrines.

Quel bonheur indicible d’avoir un bon copain je le repète (un seul accent), en particulier pour un tour en Normandie et la tournée des bars à la recherche du frisson des pôles barres…Dommage pour lui, c’est au moment où il s’absente que se pose à mon coté une femme étrange. Verre de vin en main gauche, cigarillos en main droite, gros strabisme et regard flou, tremblements, malaise. Puis s’approche un mec encore plus bizarre, énorme, tordu, à barbe hirsute, air méchant et résidu de bave à la commissure des lèvres. Il reproche virulemment (prononcer virul-amant) à la vieille d’avoir trop tisé et lui demande comment elle va assurer pour son numéro au cirque des monstres? Je ne comprends plus ce qu’il se passe alentour le décor a changé, nous sommes déformés de somme (comme bêtes de) dans l’antichambre d’un chapiteau, dans le recoin derrière la scène où se préparent les artistes. Je m’aperçois ou plutôt discerne dans la glace un browning_et_les_freakspersonnage déformé dont j’occupe le corps et … il hurle je hurluberle nous beuglons de concert (un deux beaucoup de concerts)

C’est alors que je glisse un regard entre deux pans du rideau rouge et là sur scène, une illusion de presque rêve…tandis que la fée se contorsionne, le public constitué de laids cachés dissimule ses monstruosités derrière sourires, moult battements de moignons, trépignement de trépanés membres de la confrérie des soit-disant victorieux. Je me sens plus saltimbanque que public, pas commun baladin, clown triste à ses heurs,  et cependant dans la danse et les contorsions de purs instants d’ivresse cosmique m’élèvent au faîte d’un soir tranquille, heureux, préparé au transport terminal.

La vieille poivrote trop et mal alcoolisée s’affale contre moi, me réveille. Décidément, le trip à l’andouillette c’est mieux que les produits modernes et autres sucres bruns ou blancs. Très important la sauce, il faut suivre une recette se référer et l’adapter au temps comme au lieu, au cuisinier comme aux convives, c’est un art éphémère réservé aux majeurs amateurs d’arts mineurs, rockeurs et tagueurs,  hobboes et jardiniers, sédentaires bienveillants ou nomades gracieux, intemporels voyageurs du présent. Yalla encore.

~~

Nous (nous) frayons tels les saumons remontent le torrent de leur jeunesse, jusqu’à un point d’ouïe et vue pas vraiment…

British singer Sting performs during the 14th edition of the music festival Mawazine on June 4, 2015 in Rabat. AFP PHOTO / FADEL SENNA
British singer Sting performs during the 14th edition of the music festival Mawazine on June 4, 2015 in Rabat. AFP PHOTO / FADEL SENNA

…intime au cœur des milliers de clients, juste sur le passage des câbles entre scène et vigie son-lumières; le petit plus c’est le passe câble qui permet de s’élever de 5 cm ce qui compte tenu de moins d’1,80 m n’offre tout de même pas un panorama intégral. Je lègue bon prince ma place à une femme d’age et taille modeste qui me le rend bien en frottant son prose soyeux contre mes parties érogènes. J’ai le gourdin, barreau gaule trique et puis après une heure trente de frotte mi frotte fa la moi ré sol si mimi, lâche la purée ( idéal avec l’andouillette) craque balance tandis que 10 000 Roxane’s hurlent de plaisir iho iho iho ihoooooooooooooooo !

(Bye Sting)

version avec les roxanes trémolent not in tune   ou bien si tu passes l’intro de guigui, ça donne ça  toujours à moitié out of, sauf que en vrai…

Il est temps de puter la red light off quand Joan (c’était elle devant moi pendant tout le gig!!!) se relève et me fait une annonciation

Joan: merci John, tu vas être papa, on l’appellera Jésus comme le saucisson

John: Swafranc tu es témoin devant l’éternelle, c’est la vierge qui a commencé

Swafranc: Je vous bénis à la sève de houblon, que cet enfant soit le patron des brasseurs !

Joan: merci les gâs, je vous laisse pour aller @ The Dø  ( Despair, Hangover & Ecstasy ) , à plus

John: pour nous ce sera dodo, The Dø c’est trop électro après tant de pop rock pour nos vieuzos

Swafranc: appuie toi sur mon bras on va faire une pause au bars (noter l’anagramme: pas de bras pas de bars)

John: dire qu’avec quelques années de moins nous aurions vu la lune se coucher sur 2MANYDJ’S ça va pulser grave, j’adore, mais il faut que je prenne mes cachets

à terminer…en épilogue je vous conterai notre voyage en navette spacieuse blindée, et la rencontre épique avec 2 différents dont un didjés, genre le mec bercé trop près du mur et qui à 30 ans te raconte l’histoire du rock depuis les 50’s ! unbelievable (prononcer 1 nbeuh livèbeul)

~

chapitre ‡‡ – épilogue

différent ≠ dièse

# ≠ b : un ton entre bémol et dièse

≠ +  ⁄  = #

différent plus barre oblique = dièse : dièse moins barre oblique = différent ou égal avec la barre en rut

moralité: méfions nous des signes

etsignes_main marrons nous

quand bien même

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.

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.

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~~

1116730458

(…) donc la navette, 3 ème du genre, il est 1.30 et nous échangeons avec les seuls communicants dans la file d’attente (j’aurai pu dire queue mais l’heur a passé). Jo-Josiane 8e8d75aa233c7994ed365f4be7b14b45a un vrai pète au casque, elle (tantôt il) transmet son avis en faisant des petites bulles avec sa bouche, pas comme en BD, plutôt comme un escargot. C’est puissant, troublant. Je l’imagine au pôle dance et je vomis un peu sur le bas coté. Vite fait je révise mon « le Petit Prince » et vois à l’intérieur de la baleine…une sirène. Respect, le déguisement est vraiment réaliste!

La discussion avec Robert est cultissime. On refait le match depuis les régionaux de l’étape jusqu’au dødø. Son analyse est complètement différente de la notre. Un point de vue qui passe outre les andouillettes et les fidèles de Joan. Pour lui chaque concert à mis en scène l’histoire d’un groupe et de ses influences comme autant de vies intérieures en emporte le riff des guitares. Les portes de la perception sont peinte en noirétrange comme les gens sont différents, est-ce bien normal? Pour ne pas vous confusionner encore un peu plus, je garde pour un prochain texte la revue des monstres dont je livre un titre possible  » la fabuleuse histoire (50’s =>10 th) de différents semblables racontée en chanson 

rien à voir avec l’excellente scandaleuse du regretté Gilles Verlan

~~

A la descente du car Joan Dark et les 60 violeurs nous font une ovation.

Joan: c’est en marche mon John; nos enfants du rock naîtront en mars 2016. Leur mission s’ils l’acceptent : instruire les innocents aux mains pleines, dénoncer du geste (par la chanson de) l’excès de bite à Urbain dans l’habitat urbain, démontrer que Satan l’habite jusqu’à la sortie de la sale du concert (tu sais la dame qui t’as servi ta première bière, c’est sa mère la tepu), et tout ça en curée de musique, et de la bonne, Annie est ton amie!

 ~~

Analyse de texte contestable:

objet: raconter une journée de festival et ses racines emberlificotées

méthode: aucune, sinon relater au fil des jours avant l’automne un épisode de vacances

message: n’oublies pas d’acheter du pain

moralité: le diable se cache parfois là où on ne l’attend pas

moralité bis: les punks, hardeux, rockeurs, popeux, electrucidés, et autres mélomanes sont des anges venus sur terre sauver l’humanité et la planète

moralité ter: celle qui suit la moralité bis pour compléter la sentence par l’inénarrable « ou pô ! »

fin

merci ! si vous avez lu la nouvelle en entier (ou pô) , je serai curieux d’avoir un commentaire de votre part, sur le blob ou par mail à opt92500@outlook.fr

de guerre las et par l’amour rescapé

amicalement Vôtre

ΩΛ¡ ωρ

6 réflexions sur « JOAN JOHN-JOHN & JOHN, H B 2015 intégral v1.0 »

  1. belle saga « social-rock » en terre normande, avec son lot de réjouissances et de rencontres improbables mais détonnantes…

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  2. Merci binôme Swafran et très honoré de plaire à Kim insensée fatale parmi les muses…
    J’ai un doute quand même sur la « lisibilité » du truc, je me suis un peu laissé allé dans les nimbes matinales parfois embrumées de substances opiacées [ en toute légalité quand j’ai mal au dos je prends de la lamaline ou du tramadol 3:) ]
    à bientôt j’espère les amie ami

    J’aime

  3. j’ai commencé la lecture Oli que je continuerai sans faute ( j’ai épinglé ta nouvelle ) à mon rythme de pas trop de temps en ce moment !
    Ahhhh ! j’ai vu aussi ce cher et tendre Lemmy en 82 au Marquee entre autres lieux de débauche (si mes souvenirs de punkette hippie hard rockeuse sont bons ) et j’en suis restée un peu dure de la feuille !
    A plus 😉

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  4. j’en suis seulement au chapitre IX parce que je clique sur tous les liens sataniques et autres ! quel délire tu t’es tapé 😀

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    1. J’avoue 🙂 c’est la bonne éclate ce sujet des festivals, j’en ferai bien un métier mais à part des gamines sympa comme toi Juju et Kim la belle ghoule ou Swafran mon aide soignant caviste, peu d’amateurs du genre, tant pis pour eux ! Je vais continuer la collec même si c’est pour un cercle intime et merde aux organisateurs de festivaux qui pourrait au moins payer un coup à boire de temps en temps !

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