Aujourd’hui nous ferons hommage à la côte d’albâtre et puis souvenirs souvenirs, à l’Histoire
Accroupi à l’instant éternel je sens la terre sous mes genoux,
L’odeur de poussière millénaire, évidence immuable et impermanente
Perpétuité fugace du grain élémentaire, sur mon doigt,
Que je mouille d’une larme tiède en respirant l’embrun
Ce morceau de falaise affalée sur la grève
Je le creuse de l’ongle
Y laisse mes cellules ouvertes à l’humble destinée
Au bon gré de tes ores et à jamais absent
(.)
Je préfère les chapitres du roman (?). Le poème sent un peu son académisme délcamatoire, tendance sous-préfet coupant ruban.
Félicitations dynamiques = peut mieux faire encore.
J’aimeJ’aime