do you eat what you are?


tel le débris à la dérive amasse masse, de marées en marées, flux et reflux abrase ma carapace sur le sable fin. Plus jeu m’abuse je profite, toujours flottant affleurant la surface, au risque de sombrer

Oli.W.P.

You-are-what-you-eat 2soit ce que tu manges et pour être, mange ce que tu es disait le marchand

Let me tell you the story of a friend:

Il serai simple que l’histoire commence à la naissance, les influences, influx et nuances, fruits 1625569_10204452431214126_1386858817898324840_nde générations et manipulations induites ou pas. La vie un peu comme une peinture, couches de couleurs sur couches de couleurs sur toile, les cernes d’un tronc d’arbre enraciné en une terre fertile. Il a tenté vainement de l’éplucher pendant un temps ce tronc. Les formes sculptées ne représentaient alors rien de simple, autre irréalité délavée, une différente complexité, donc à quoi bon? Il eu aussi l’idée du livre, se délivrer par le partage; et la musique, lutinée de batifolages; infimes parts de l’ouvrage. Il hésitait. Partir en ermitage et devenir anthropophage? Redevenir poussière ou manger l’univers? L’œuvre d’un homme, est-ce plus qu’une petite crotte, déjection résultante à la digestion…

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