antépisode


(…) Satan ne l’habite pas longtemps, tout au plus le temps d’une lente fornication antithèse au coït mutuellement commis; antépisode

Il est passé brutalement de l’étude des coléoptères à celle de la théorie des quantas (Sartre,Nausée, 1938)

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1500_ 020
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Pourquoi vivre longtemps si la fin, douloureuse, connue, déchéance ou souffrance, est autre que lumière ?

L’enfer, c’est les autres. Ici. Là, sur l’autre rive de la méditerranée, dans un camp, seul sous un pont, ensemble sous les bombes. L’enfer c’est la part de l’homme qui s’autorise diable. S’il y a un enfer, pourquoi n’y aurait-il de Paradis?

L’enfer c’est quand je baisse la tête, quand je laisse filer l’occasion d’être; pas de dogme ici, juste une appréciation de ce qui fait du bien. Le bien c’est le plaisir, pour soi, à partager, pour l’autre, pour la beauté manifeste, le goût d’autrui, ou pour rien.

Comme la poussière s’enflamme entrant dans l’atmosphère, je me consume en la lumière

Le moindre obstacle peut altérer

Sur l’arc en ciel le reflet

Plein soleil brulants évapore

Lune noctambules revigore

Secondes éphémères d’une année galactique

transpose en un lieu, l’organisme.

l’idée

avant pendant aprèsdali-salvador-the-temptation-of-st-anthony

La Vie bien plus qu’une existence,

surréalité

 

 

 

 

 

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