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extrait de » l’Amour est dans le mot«
(…) Las une vierge vigne à solitaire effeuiller en fumant, et réciproquement.
Des déserts vierges à arpenter de parallèles foulées qui entrecroisent, l’Amour dure, je n’en doute point, toute une vie, et à travers les ages nous propulse d’arrière en avant, de « bons dedans dehors des familles » dirait Alex, des vertiges d’angoisse lors des adieux aux évanouissements béas des retrouvailles. Ma vie n’a d’autre sens que ces amours rocambolesques, de zénith en nadir, à l’apogée de nébuleuse en périgée des lunes gibbeuses,
J’ai aimé je T’aime, j’aimerai. (…)
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extrait de « De nos amours déchus, jalousie meurtrière«
(…)
Tes peintures sur mon corps et toutes mélodies, ces voix,
Nos arabesques sur la piste, mes mystères chuchotés tard le soir, (…)
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extrait de » Nos baisers sur le mur, en ruine«
(…)
Flottant au dessus de gravats à l’origine obscure
Transportés de baisers, voluptueuses caresses aux rondeurs harmoniques,
Vivants des sens fragiles que l’amour fou instille,
Mystérieusement naturels.
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Dans cet environnement hostile, étranger à l’idylle,
Couple ondulant.
Sibylle évaporée aux couleurs impressives
Apollon exalté de cycliques philharmonieuses
Nos baisers, éternellement fugaces.
L’OLIwp vous souhaite, Bonnie’s & Clyde’s
intensément,
du plus profond de ses expansions&
autres sentiments cosmiques,
un chaleureux vendredi,
jour de Venus,
tout le plaisir de l’univers