La nuit dernière j’ai dévoré un être de la forêt et sa furieuse. Ah ha! quel gai appétit pour une triste fin, j’en bave encore en éructant.
Pas de remord, qu’aurai-t-il pu advenir d’une telle association, trio mal assortis d’une aérienne d’un terreux et d’un aquatique?
Possible regret de ne les avoir pas séquestrés quelques temps, j’ai des sévices et perversions fantasmées à mettre en œuvre.
Basta, je les programme pour la prochaine lune, le 25 mai, soirée brûlante prévue au bois des saints cucul fats.