en attendant le jour des défunts, vivons!
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A la veille de publier une première newsletter mensuelle, je constate avec dépit que 10 des 15 publications du mois d’octobre traitent, diversement et avec une suffisance variable, de la chose.
Pas pudique ni publique, la chose est elle mon truc? De quel droit, de quel courbe, par quelle elliptique parabole puis-je conjurer un tel destin paillard?
Convient-il de jouer les candides paraphrasant Voltaire et Dard, Tolstoï, Burgess, Sand Musset et Chopin, Barjavel ou Vian, pour l’amour des lettres?
Donc je brûle tout le 31, en un dérisoire brouillard gagnant. La crémation aux relents de décharge privée, odeur de vieux pneus qui crament sur la morne plaine normande de mon enfance, sous un crachin glacial, dans le vent éparpille la piètre prose qui ne vaut guère plus que les vents de mes fesses.
Vœux testamentaire: si l’une ou…
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