
Il était un foie, enrobé
Stéatose diffuse, à force, liquoré
Au coté ce pancréas usé usagé abusé
Au crépuscule d’une décennie, au dénouement du jubilé
Désolance, ajubilation
Oh corps, cœur et âme, meurtris
N’ai-je dont tant vécu
Que pour cette andromie ?
Réjouissance cependant, le rêve toujours me porte
au travers des espaces, du ciel à la mer, de la terre à la lune
inconstamment dans la durée
Durablement conjectural
Lunatique esthète
Esthétique et bestial
Mésothérique

Mésosphérique éthéré
Assurément méso miso mytho
Maniaque
Déprécié parfois, excessif en dépressurisation
Déprécif plutôt que dépressif
mais je le soigne
1 réflexion sur « Mies de la poésie, bonjoir »